La soirée de gages coquins
Le 11/07/2025
J’avais enfin eu la chance de trouver une jeune fille pour une soirée de jeux avec gages sexys.
Ce soir-là, j’avais donc rendez-vous chez Floriane, que je m’apprêtais à rencontrer pour la première fois. Arrivé devant la porte de son appartement, je n’eus même pas le temps de sonner que je fus accueilli par l’occupante des lieux. Floriane était une jolie brune d’une vingtaine d’années, avec un très joli sourire. Après être entré, j’eus l’occasion d’apprécier par ailleurs ses belles fesses de sportive, parfaitement moulées dans le mini-short que mon hôte avait choisi pour l’occasion.
Floriane me proposa alors un verre, que j’acceptais, et me précisa qu’elle s’était permis d’inviter 2 copines à participer à notre soirée. Cela ne me posait bien entendu aucun problème, et ne faisait au contraire qu’augmenter mon excitation. Quelques minutes plus tard, les 2 autres invitées étaient arrivées, et Floriane me les avait alors présentées : il y avait Typhaine, une autre brune avec un très joli visage, et un physique un peu moins élancé mais plus sportif, bien mis en valeur dans une robe bleue s’arrêtant à mi-cuisses, et Amandine, une grande blonde plutôt mince, portant quant à elle une robe rouge très courte.
Après quelques banalités permettant de faire quelque peu connaissance et de partager un verre, tout le monde décida de commencer le jeu. J’avais proposé à Floriane de lui laisser le choix des jeux, tout en sachant que ça lui donnait un petit avantage, mais bon ça avait permis de m’aider à la convaincre de faire cette soirée.
Floriane annonça donc le déroulement du premier jeu : chacune des filles pouvait à tour de rôle me lancer un défi, sachant que si je le relevais, la fille en question devait enlever un vêtement, et sinon, c’était à moi d’en enlever un. Cela ne me paraissait pas très équitable, mais bon j’avais dit que Floriane pouvait choisir les jeux, donc je me lançais.
C’est Typhaine qui me lança le premier défi : j’avais 45 secondes pour descendre les 3 étages de l’immeuble par l’escalier et les remonter par l’ascenseur. C’était un défi assez aléatoire, car cela me paraissait largement faisable si l’ascenseur n’était pas trop long à arriver. Je décidais donc de tenter de le relever, et le top départ fut donné. Je dévalais les escaliers à toute vitesse, assez confiant, et j’appuyais sur le bouton de l’ascenseur dès mon arrivée au rez-de-chaussée. Malheureusement, en levant la tête, je m’aperçus que l’ascenseur venait juste de partir en montant. C’était encore possible, mais il fallait qu’il revienne assez rapidement. Mais je dus constater qu’après être monté au 3ème étage, l’ascenseur s’arrêta ensuite au 2nd puis au 1er avant de revenir s’ouvrir devant moi. Je remontais donc les 3 étages tout en sachant que j’avais échoué pour ce premier défi. De retour dans l’appartement, j’enlevais donc mes tongs et demandais mon défi suivant.
Ce fut alors au tour d’Amandine de me défier : elle sortit 2 chaussures avec d’énormes nœuds dans les lacets. Le gagnant serait celui ou celle qui aurait démêlé les nœuds en premier, et j’avais même le choix de la chaussure. Je choisis donc celle qui me semblait la moins emmêlée, et Amandine la passa alors à Floriane pour qu’elle me la donne, tout en attirant mon attention en me narguant et en me disant qu’elle allait me battre. Quand je reçus la chaussure de la part de Floriane, j’eus l’impression que le nœud était nettement plus serré que je ne l’avais vu auparavant, mais je me dis que ce devait être une illusion d’optique ou que j’avais peut-être mal évalué les 2 nœuds. Au top, je me lançais donc dans le démêlage, mais le nœud était effectivement très serré et je fus battu à plate couture. Je dus donc me résoudre à enlever mon tee-shirt, sous les regards coquins des filles, et avec une Amandine qui me narguait encore davantage.
Floriane me lança alors à son tour son défi : j’avais 3 minutes pour trouver une personne qui accepte d’écrire un message dans mon dos au marqueur. Sur le coup, cela me sembla plutôt simple, Floriane habitant dans une résidence étudiante qui devait bien comporter une cinquantaine d’appartements au minimum… Je partis donc pour le défi, mais je dus rapidement me rendre à l’évidence : c’est bien les résidences étudiantes, mais au mois d’août, il n’y a pas grand monde… Au final, entre les appartements vides, les filles qui refusèrent d’ouvrir en me voyant torse nu et les étudiants qui n’avaient (soi-disant ?) pas de marqueur, je dus me résoudre à échouer une nouvelle fois. A mon retour dans l’appartement de Floriane, je me tournais à la demande des filles pour leur montrer mon dos, et je reçus alors tous les encouragements nécessaires pour continuer mon effeuillage. La situation devenait alors un peu plus gênante, et plus excitante à la fois, et je mis un peu plus de temps à enlever mon short. Je me retrouvais alors en boxer devant ces trois jolies jeunes filles qui me regardaient en rigolant et ne pouvaient ignorer la bosse formée dans mon boxer.
Le premier jeu étant terminé, Floriane me demanda si je voulais continuer à jouer, et j’acceptais bien entendu. C’était quand même pour ça que j’étais là… Floriane m’annonça donc le 2ème jeu : chacune des 3 filles allait à son tour me poser une série de 5 questions issues du Trivial Poursuit. Les 5 questions seraient d’une même couleur, que je pourrais choisir, mais je n’avais le droit de demander qu’une seule fois chaque couleur. Si je répondais correctement aux 5 questions, la fille devait directement se mettre nue, et par contre, si je me trompais sur une des questions, je devais enlever un vêtement.
Ce fut de nouveau à Typhaine de commencer, et elle me demanda la couleur choisie. Après réflexion, je décidais de garder la couleur orange, qui concerne des questions de sport, pour Floriane, qui est celle des trois filles qui me plaisait le plus et que j’avais le plus envie de voir nue. Les autres catégories m’inspirant assez peu, je finis par me décider pour la couleur verte. Typhaine allait donc me poser 5 questions sur la nature et les sciences. Elle prit donc un tas de 5 cartes présent sur une petite table à côté d’elle et commença. Je n’étais pas hyper confiant, mais je savais que sur ce thème j’avais une chance de m’en sortir malgré tout… Je répondis alors facilement à la première question, la deuxième fut plus compliquée mais je m’en sortis malgré tout, mais par contre la troisième marqua la fin de ce premier duel. Je réalisais alors que c’était également le moment qu’attendaient les filles et un moment délicat pour moi. En effet, je devais enlever un vêtement, et comme il ne m’en restait plus qu’un… Voyant ma gêne, les filles ne se firent pas prier pour en rajouter et m’encourager à coups de « A poil, à poil… ». Je tournais alors le dos aux filles, puis, prenant mon courage à deux mains, je baissais puis enlevais mon boxer sous les sifflets des filles. Mais cela ne leur suffisait bien sûr pas, et elles me demandèrent alors de me retourner, puis d’enlever mes mains que j’avais mises devant mon sexe pour le cacher. C’était le jeu et je l’avais accepté, et je m’exécutais donc, laissant apparaître mon sexe, bien gonflé par l’excitation, aux yeux satisfaits et coquins des filles.
Les filles sortirent alors leur téléphone pour immortaliser la scène, et je m’empressais de mettre mes mains devant mon sexe pour cacher mon intimité sur les photos qu’elles prenaient.
Après avoir profité un petit peu du moment, Amandine rappela que c’était à son tour de me poser des questions, et demanda alors à Floriane comment cela se passait car je n’avais plus de vêtements à enlever. Notre hôte indiqua alors qu’en cas d’erreur, on m’attacherait les mains dans le dos avec des menottes. L’idée sembla plaire à Amandine, qui me laissa alors choisir une couleur. Je choisis donc, sans conviction, les questions de couleur bleue, même si la géographie n’est pas forcément quelque chose que je maîtrise bien. Amandine prit donc elle aussi un tas de 5 cartes et me posa la première question… A laquelle je ne sus déjà pas répondre. Cette manche se termina donc très rapidement, sous les moqueries coquines des filles, et Amandine prit donc la paire de menottes tendue par Floriane. Elle me les passa alors autour des poignets, maintenant ainsi mes mains attachées dans mon dos, m’empêchant donc de cacher mon sexe. Celui-ci était d’ailleurs de plus en plus tendu, sous le coup de l’excitation, et les filles ne manquèrent pas de le remarquer. Cela ne fit d’ailleurs que s’accentuer quand Floriane jugea bon de préciser que ce n’étaient pas des jouets et qu’il n’y avait donc pas de mécanisme de sécurité permettant de me libérer seul : seules les clés pouvaient ouvrir les menottes.
Cette remarque fit beaucoup rire les filles, qui reprirent leur téléphone portable pour me photographier sous toutes les coutures, d’autant que je ne pouvais dorénavant plus cacher mon sexe.
Floriane demanda alors à son tour quelle couleur je choisissais pour sa série de questions, en précisant que si j’échouais, le même sort qu’à mes poignets serait réservé à mes chevilles. Comme je l’avais prévu, je demandais alors la couleur orange, correspondant aux sports et loisirs, sujet que je maîtrise plutôt pas mal. Floriane prit alors un autre tas de 5 cartes, et commença à me poser ses questions. J’étais très excité car j’imaginais déjà très bien mon hôte devoir se dévêtir entièrement. Tout commença très bien, avec des premières questions très faciles, et je répondis sans aucun souci aux 4 premières, mon excitation à l’idée de voir Floriane nue augmentant au fil de mes bonnes réponses. Bizarrement, cela ne semblait pas inquiéter Floriane, qui gardait le sourire et destina même un clin d’œil malicieux à ses copines. Je compris mieux cette attitude quand j’entendis la dernière question, concernant un sportif dont j’ignorais même l’existence. Bien entendu, je dus à nouveau m’avouer vaincu, pour le plus grand plaisir des filles. Floriane saisit donc une nouvelle paire de menottes, qui me semblèrent du même type que celles qui bloquaient mes poignets dans mon dos, et attacha mes chevilles l’une à l’autre, en prenant soin de poser les clés sur une armoire avec les autres.
Le 2ème jeu étant terminé, Floriane me demanda alors si je souhaitais continuer à jouer. Je dois avouer que la question s’est posée le temps d’un instant, mais j’étais quand même venu pour ça, je n’avais pas encore réussi à enlever le moindre vêtement aux filles, et je dois avouer que la vulnérabilité dans laquelle je me trouvais face à ces 3 jolies demoiselles m’excitait au plus haut point. Je décidais donc de continuer à jouer.
Floriane annonça donc le 3ème jeu : une partie de Uno en 2 manches. Pour chaque manche, si une fille perdait, elle devait se déshabiller entièrement, et si je perdais, la gagnante pourrait attacher les menottes de mes chevilles à celles de mes poignets pour la première défaite, et me mettre une cage de chasteté si je perdais la 2ème manche également. L’enjeu me paraissait nettement plus intéressant pour moi que pour elles, et j’étais donc plutôt content… jusqu’au moment où je me suis demandé comment j’allais faire pour jouer au Uno avec mes mains attachées dans le dos. J’ai donc posé la question à mon hôte qui m’a répondu en rigolant que je devais me débrouiller. Retournant le problème dans tous les sens, je dus me rendre à l’évidence en constatant que ma seule solution pour voir mes cartes était de les poser face visible sur la table. Malheureusement, cela signifiait que les filles pouvaient également les voir. Elles n’eurent alors aucun problème à me battre, en posant systématiquement des cartes sur lesquelles je ne pouvais pas jouer. Dépité, je ne pus donc que regarder Typhaine, qui avait gagné la 1ère manche, prendre la chaîne et les 2 cadenas tendus par Floriane, et s’en servir pour relier mes 2 paires de menottes. La bonne nouvelle était que la chaîne était assez longue pour me tenir debout et ne pas avoir à conserver les jambes pliées, la mauvaise était que le matériel utilisé semblait là encore très solide et que les clés furent à nouveau posées sur la même armoire que précédemment.
Après la deuxième manche, je dus ensuite laisser Floriane, la gagnante, me conduire sous une douche froide pour faire tomber mon excitation. Cela ne suffisant pas, elle se chargea alors de me masturber vigoureusement, sous le regard de ses copines et de leur téléphone : le résultat ne se fit pas attendre bien longtemps et j’éjaculai honteusement devant les trois filles. L’effet cumulé de la baisse d’excitation liée à l’éjaculation, de la douche glacée, et de la honte ressentie firent prendre à mon sexe une taille minuscule. Mortes de rire en voyant cela, les filles immortalisèrent à nouveau le moment, puis Floriane en profita rapidement pour m’enfiler une cage de chasteté en pvc très rigide mais transparent, cage qu’elle n’eut aucun mal à serrer au maximum étant donnée la taille de mon sexe et à fermer à l’aide d’un autre solide cadenas, dont la clé suivit le même chemin que les précédentes.
A la fin de ce 3ème jeu, je me retrouvais donc entièrement nu, les poignets attachés entre eux dans mon dos par de solides menottes, les chevilles également, les premiers reliés aux secondes par une solide chaîne, une cage de chasteté transparente enfermant mon sexe, et le tout devant trois jolies jeunes filles, entièrement habillées, qui se rincent l’œil, rigolent et prennent la scène en photos. Sans que je sache pourquoi, cette situation refit malgré tout monter mon excitation, ce qui n’arrangea rien car la cage me faisait du coup horriblement mal au sexe.
Au moment où Floriane me demanda si je voulais continuer à jouer, le scénario du dernier jeu où la partie n’était pas du tout équitable me fit reprendre un brin de lucidité, et je dis donc qu’on allait s’arrêter là. Floriane me dit alors qu’il n’y avait pas de problème et que je pouvais partir. Je lui demandai alors de me retirer tous mes liens, pour que je puisse me rhabiller et rentrer chez moi. Elle me répondit alors qu’elle ne le ferait pas, que j’avais perdu et qu’il fallait que j’assume et que je rentre chez moi ainsi, la soirée n’étant pas terminée. Elle me dit qu’elle viendrait me libérer et me rendre mes vêtements le lendemain.
Voyant mon air sidéré et dépité, elle me proposa alors une alternative. J’acceptais un jeu supplémentaire, en quatre manches, et à chaque manche on mettait en jeu un vêtement : je n’avais qu’à gagner et je récupérais le vêtement en question. Voyant revenir le sourire sur mon visage, elle précisa qu’il y avait malgré tout une condition : à chaque manche, si je perdais, les filles prendraient le vêtement en question, le déchireraient ou le découperaient en petits morceaux, et le jetteraient dans le vide-ordures. Cela me plaisait déjà beaucoup moins, mais bon, si je refusais, je rentrais chez moi à poil de toute façon. J’acceptais donc ce nouveau jeu.
Floriane annonça alors le 4ème jeu : il fallait se lancer un ballon de baudruche rempli d’eau, et celui qui le faisait tomber ou le faisait exploser avait perdu. En entendant cela, je protestai car mes mains attachées dans le dos me procuraient à nouveau un désavantage certain. Néanmoins, Floriane me rappela que j’avais accepté de faire un quatrième jeu, et que de toutes façons, si je ne voulais pas jouer, je serais rentré chez moi ainsi, et que je n’avais donc pas grand-chose à perdre.
On commença donc la première manche, et les filles acceptèrent à ma demande qu’on commence par mettre en jeu les tongs, le temps que je m’habitue au jeu et à la position. Le ballon passa donc sans encombre de Floriane à Amandine, puis d’Amandine à Typhaine. Typhaine me l’envoya alors, et j’essayai tant bien que mal de le rattraper, quitte à me faire mal aux poignets. J’y étais presque, mais il m’échappa et tomba au sol. La première manche était perdue, et Typhaine récupéra donc mes tongs, coupa les lanières avec des ciseaux, et jeta le tout dans le vide-ordures.
Pour la deuxième manche, je demandais à mettre en jeu mon boxer : je préfère rentrer chez moi en short, même sans boxer en dessous, plutôt qu’en boxer. Elles acceptèrent et changèrent l’ordre de jeu. Typhaine commença par passer le ballon à Floriane, qui l’envoya à Amandine. Elle me le jeta alors et je déplaçais mes mains pour le réceptionner. Malheureusement, je fis un mouvement un peu trop ample et rapide, et la chaîne reliant mes poignets à mes chevilles tira donc sur celles-ci, ce qui me fit glisser sur le sol mouillé suite à l’explosion du ballon précédent. Je me retrouvais donc au sol, tout comme le deuxième ballon qui explosa à côté de moi. Amandine se chargea donc de prendre mon boxer, de le couper en plusieurs endroits sur toute la hauteur, et de le jeter à son tour dans le vide-ordures.
Pour la troisième manche, mon tee-shirt était en jeu, et il commençait à devenir important de ne pas perdre. Le ballon passa des mains d’Amandine à celles de Typhaine, puis de celles de Typhaine à celles de Floriane. Avec beaucoup de concentration, je réussis à récupérer le ballon envoyé par Floriane et, content de moi, j’essayai alors de le renvoyer à Amandine. Mais les restrictions de mouvements imposées par les menottes et la chaîne limitèrent la distance d’envoi et le ballon tomba pratiquement à mes pieds. Je fus donc logiquement à nouveau déclaré perdant, et Amandine prit donc mon tee-shirt et tira dessus de toutes ses forces pour le déchirer en plusieurs morceaux. Elle le jeta alors dans le vide-ordures.
Me rendant alors compte que de toute façon, au mieux, j’allais pouvoir rentrer chez moi avec juste un short, je me concentrai alors à fond pour la dernière manche, pour ne pas perdre également ce dernier vêtement. Amandine envoya à nouveau le ballon à Typhaine, qui le transmit à Floriane, qui se chargea de me l’envoyer. Je réussis à nouveau à l’attraper, mais le ballon m’explosa dans les mains en heurtant un coin de mes menottes. Les filles explosèrent donc de rire en voyant ma tête déconfite, et Floriane prit à son tour les ciseaux pour réduire mon short en lambeaux, qui finirent au même endroit que les morceaux de tissu précédents.
Un rapide examen de la situation me fit réaliser que je rentrerais de toutes façons chez moi à poil… Mais si seulement je pouvais au moins marcher normalement ou bien me cacher les parties intimes avec mes mains.
Floriane me demanda alors si je voulais continuer à jouer ou bien partir. Voyant bien le jeu des filles et ayant peur de la suite, je choisis de ne pas continuer. Les filles se levèrent donc pour me dire au revoir, et j’en profitai pour demander à Floriane de bien vouloir me libérer, car c’est déjà bien assez humiliant de se retrouver à poil dans la rue, pas besoin d’être menotté en plus.
Elle me répondit alors qu’elle allait me faire une fleur et me proposer un deal : on allait de nouveau faire un jeu en 4 manches, et à chacune d’entre elles, je pourrais gagner une clé. Je me dépêchais d’accepter et elle m’annonça que bien sûr, si je perdais, la clé en question serait définitivement perdue. Sur le coup, je ne prêtai pas attention aux mots employés, et je fis tout pour me motiver à gagner les clés.
Floriane annonça alors le 5ème et dernier jeu… Ou plutôt les derniers jeux car chaque manche serait un jeu différent. Elle sortit tout d’abord un tapis et un trou de mini-golf, avec la balle et le club allant avec. En voyant cela, je repris mon air déconfit, en me disant que je n’avais à nouveau aucune chance. Elle annonça également qu’on allait jouer pour les clés des cadenas de la chaîne. Cela me rassura quelque peu car de toute façon, si j’arrive à récupérer celles des menottes, la chaîne ne me gênera plus. Je me concentrai malgré tout pour gagner ce peu de liberté de mouvement. Amandine commença à jouer et mit la balle dans le trou en 2 coups, Typhaine fut un peu plus maladroite et utilisa 3 coups, ce qui me rassura un petit peu. Quant à Floriane, habituée, elle réussit du premier coup. Ce fut alors mon tour, et il fallait absolument que je réussisse à battre Typhaine. J’essayai donc tant bien que mal de tenir et d’orienter le club dans mon dos, et frappai une première fois dans la balle, qui ne prit pas du tout la bonne direction. Grâce au deuxième coup, je réussis à mieux m’orienter et à approcher la balle du trou. Ne restait plus qu’à finir pour faire aussi bien que Typhaine et gagner la clé. Malheureusement, le coup de poignet que je mis pour putter ce 3ème coup - eh oui, impossible de faire le mouvement avec les bras ou les épaules - fut bien trop fort et la balle passa au-dessus du trou pour finir bien plus loin. Il me fallut donc accepter cette première défaite, et Floriane prit la clé des cadenas de la chaîne pour la mettre dans un petit sac en plastique.
Pour la deuxième manche, Floriane nous annonça alors avoir prévu une partie de billard. Chacun pouvait jouer 3 coups et essayer de rentrer le plus de boules possible. L’enjeu était cette fois la clé de la cage de chasteté. Encore une fois, je voyais mal comment j’allais pouvoir gagner dans ma situation, en me disant que c’était un moindre mal avec la cage de chasteté, car être vu avec la ceinture de chasteté qui cache en partie mon sexe ou bien entièrement nu, ça ne change pas grand-chose. Mais à ce moment-là, je réagis enfin : où allait-on jouer au billard. Sûrement pas dans le studio à Floriane. Je posai alors la question, et mon hôte m’indiqua qu’on allait se rendre dans la salle de jeu commune de la résidence, que de toute façon il n’y avait personne, surtout en août. Je n’étais pas très chaud pour sortir dans cette situation mais si je refusais, je devrais sortir également et pour rentrer jusque chez moi donc après tout. En plus Floriane avait raison, j’avais pu constater lors du 1er jeu que la résidence était quasiment déserte. On sortit donc de l’appartement pour se rendre dans la salle de jeu. Effectivement, on ne croisa personne dans les couloirs et la salle de jeu était vide. Floriane prépara alors le billard, et la partie commença. Typhaine commença par rentrer 4 boules - quelle chance sur le dégommage du 1er coup sur lequel 2 boules sont rentrées directement -, Amandine en rentra 3 grâce à un très joli dernier coup, et Floriane réussit à en mettre 2. Je me dis alors que c’était possible de faire aussi bien que Floriane et de gagner cette clé. C’est alors qu’on entendit 2 voix dans le couloir. Plus elles étaient fortes, plus la tension montait en moi, et donc plus mon sexe me faisait mal également, jusqu’au moment où la porte de la salle de jeu s’ouvrit sur 2 jolies demoiselles qui, le premier mouvement de surprise passé, ne purent s’empêcher d’éclater de rire en me voyant. Elles dirent alors bonjour aux filles, puis demandèrent si elles pouvaient prendre des photos et assister à la partie. Floriane accepta bien volontiers, et 5 filles assistèrent donc au désastre que fut cette partie, car il m’était quasiment impossible d’atteindre la boule blanche et donc de lui donner une puissance minimale. Suite à cette défaite, Floriane prit donc la clé de la cage de chasteté, et la mit dans le petit sac.
Elle indiqua ensuite qu’on allait profiter d’être là pour jouer la troisième manche au baby-foot. Il me suffisait de battre l’une des 3 filles - le premier qui marque un but gagne - pour récupérer la clé des menottes des chevilles. Je me remotivai alors un bon coup car il me serait bien plus aisé de marcher, de courir, de me cacher,… sans ces menottes. Bien entendu, les 2 nouvelles venues décidèrent de ne pas rater le spectacle d’un mec à poil et menotté qui joue au baby-foot avec 3 filles tout habillées. Je me mis donc en position pour essayer de jouer, avec toute la difficulté liée au fait que tout se passait dans mon dos. Malgré toute ma bonne volonté, il me fut impossible d’empêcher les filles de marquer avant moi - c’était quasiment impossible de mettre de la force dans la balle, et donc très difficile de marquer -, et je fus donc à nouveau déclaré perdant. Floriane prit donc la clé des menottes des chevilles et la mit avec les précédentes.
Il ne restait donc plus qu’une dernière manche, mais c’était la plus importante, car elle pouvait me permettre de remporter la clé des menottes des poignets, ce qui me permettrait de cacher mon sexe et donc une partie de ma nudité lors de mon retour chez moi. On remonta alors dans l’appartement à Floriane, et les 2 dernières venues nous accompagnèrent. En arrivant, notre hôte me demanda alors combien il y avait selon moi de personnes présentes dans la résidence. Suite au premier jeu, je répondis que je dirais à peu près une quinzaine, en dehors des filles présentes dans l’appartement. J’essayai de me faire la meilleure idée possible, me disant qu’il s’agissait peut-être de trouver à peu près le bon nombre de personnes pour gagner la clé. Floriane me demanda alors combien je pensais qu’il y avait de filles. Là encore, je fis appel à ma mémoire pour essayer de me souvenir, et je répondis qu’il devait y en avoir une dizaine en dehors de celles qui étaient dans l’appartement avec moi.
Floriane m’indiqua alors que je n’aurais rien à faire pour la dernière manche, et que ce serait les 2 nouvelles venues qui auraient mon destin entre leurs mains. Elles avaient alors 5 minutes pour chercher dans la résidence au moins 20 filles - Floriane me dit que comme ça mon estimation était vraiment très mauvaise si elles réussissaient - en dehors des filles présentes dans l’appartement à ce moment-là et de les faire venir dans l’appartement. Si elles échouaient, je récupérais la clé, si elles réussissaient, je la perdais. Autant dire que les 5 minutes qui suivirent furent on ne peut plus stressantes, même si je pensais réellement que j’allais probablement gagner. Au bout des 5 minutes, les 2 chercheuses frappèrent à la porte, et Floriane me demanda de me mettre à côté de l’entrée pour compter. Elle ouvrit et les rires et acclamations que j’entendis firent fortement monter le doute en moi. Les filles entrèrent alors une par une, me détaillant et rigolant au passage, parfois prenant aussi des photos. Pendant ce temps, de mon côté, je ne faisais même pas attention à ça, me concentrant sur le comptage. 1, 2, 3,…, 10,…, 15… Je m’étais déjà bien trompé dans mon estimation, mais bon, ce n’était pas encore perdu, car je ne voyais plus beaucoup de monde dans le couloir. Les suivantes entrèrent : 16, 17, 18, 19… La tension monta encore d’un cran, mais heureusement je ne voyais plus personne dans le couloir. Floriane me demanda alors combien j’en avais compté, et quand je répondis avec le plus grand sourire qu’il n’y en avait que 19 et que j’avais gagné, j’entendis un bruyant « Surprise » dans le couloir, et je vis alors au moins une dizaine d’autres filles entrer. Floriane me répondit alors que malheureusement j’avais perdu, et que ça avait été très drôle de voir mon sourire réjoui et triomphant se transformer en mine de désespoir en un instant.
Le pire moment de la soirée était alors arrivé, car non seulement je me rendis compte que je n’avais rien gagné et que j’allais devoir rentrer chez moi ainsi, mais en plus je me rendis enfin compte que j’étais là, dans cet appartement, entièrement nu, menotté et avec une cage de chasteté, devant plus de 30 filles en train de me regarder, de se moquer et de prendre des photos.
Floriane calma tout le monde, puis rappela que comme j’avais perdu, la clé des menottes des poignets était aussi définitivement perdue, et que j’allais pouvoir rentrer chez moi et rester ainsi. Elle prit alors cette dernière clé et la mit dans le petit sac avec les autres, puis elle le ferma avec une ficelle. C’est seulement à ce moment-là que le mot « définitivement » arriva dans mon cerveau, et je demandai donc à Floriane ce que cela signifiait, et si elle viendrait bien le lendemain pour me libérer comme prévu. Pour toute réponse, elle me demanda de la suivre, et m’emmena jusqu’au petit coin. Elle me dit alors qu’elle avait bien précisé que les clés seraient définitivement perdues dans les enjeux, et que par conséquent elle ne viendrait pas demain, pas plus que les jours suivants d’ailleurs, pour me libérer. En terminant le phrase, et sans que j’aie pu dire quoi que ce soit, elle jeta alors le sac en plastique dans la cuvette des toilettes, et tira la chasse d’eau. Sous le choc, je criais « Non » plus par réflexe qu’autre chose, mais en m’approchant de la cuvette, je dus bien m’apercevoir que les clés étaient bien parties et dorénavant inaccessibles.
Floriane me remercia alors en me disant qu’elles s’étaient bien amusées, ce que confirmèrent en chœur toutes les filles présentes, qu’elles avaient de belles photos et vidéos de moi pour se rappeler et partager cette soirée entre copines, et que je pouvais dorénavant rentrer chez moi.
J’avais les jambes en coton, mille questions trottaient dans ma tête, et j’osai en poser une à mon hôte du soir : comment allais-je pouvoir me libérer sans les clés, et ce d’autant plus qu’avec les menottes il m’était absolument impossible d’enfiler un quelconque vêtement. Elle me répondit que je n’avais qu’à me débrouiller et passer le reste de ma vie à poil et menotté, que j’avais joué et que j’avais perdu, et que je n’avais donc plus qu’à assumer.
Elle m’escorta alors jusqu’à la porte de son appartement, me poussa à l’extérieur, et ferma la porte derrière moi. Analysant alors la situation, je me rendis à l’évidence que je n’avais plus qu’à rentrer ainsi chez moi. Tout le long du chemin, je fis tous les efforts possibles pour me cacher des quelques passants et automobilistes que je croisai et qui, au choix, étaient outrés, rigolaient, se moquaient, filmaient ou prenaient des photos. Mais tout cela était rendu très compliqué par les liens qui entravaient nettement ma liberté de mouvement.
Enfin de retour chez moi après de longues minutes de marche, je m’allongeais tant bien que mal sans réellement réussir à dormir tant je pensais aux conséquences de cette soirée. Qu’allaient devenir les photos et vidéos ? Toutes ces filles allaient-elles les garder pour elles ou bien les diffuser sur Internet ? Est-ce qu’elles n’allaient pas me faire du chantage pour me mettre dans d’autres situations plus ridicules ou embarrassantes encore ? Et surtout, comment faire pour me débarrasser de tous ces liens ?
Pour cette dernière question, une seule réponse était possible, et elle était évidente, mais il m’était très difficile de l’envisager. Je décidai donc d’attendre le lendemain matin pour la mettre en pratique, et je m’endormis sous la fatigue causée par tant d’émotions.
Le lendemain matin, le réveil fut compliqué et les questions revinrent au galop. Je repensai à la dernière, et je fis le point : je ne pouvais pas enlever mes liens moi-même, je ne pouvais pas passer le moindre vêtement et donc je ne pouvais pas sortir de chez moi, il n’y avait donc bien qu’une seule solution : appeler un serrurier pour qu’il vienne ouvrir les cadenas.
J’allumai donc mon ordinateur pour trouver le numéro de téléphone d’un serrurier, et je lançai ma boîte mail par habitude. Je constatai alors que les échanges de mes photos et vidéos avaient déjà bien commencé et que beaucoup plus de personnes m’avaient déjà vu dans cette situation humiliante.
Un mail attira mon attention, il venait de la part de Floriane. Elle me demandait si j’avais appelé un serrurier, et si oui, quand il venait, car elle voulait venir filmer la scène. Elle me proposait même d’en appeler un à ma place si je voulais et que je ne l’avais pas encore fait. Sur le coup, j’étais choqué et je comptais bien ignorer son message, mais il y en avait un second. Dans celui-ci, elle mettait un lien vers un album multimédia, en m’indiquant de cliquer dessus. Après hésitation, je le fis et je découvris des centaines de photos et vidéos de la soirée de la veille. Je fermai rapidement et je lus la fin du mail : pour l’instant, cet album était privé, mais si je ne la laissais pas venir filmer la scène avec le serrurier, elle mettait tout cet album en ligne sur Internet, avec mon nom, mon adresse mail, mon Facebook,…
J’étais bouche bée, et j’avais du coup réponse à une de mes questions : voilà le chantage qui commençait. Ne sachant que faire, je finis par accepter, je lui donnai mon adresse pour le rendez-vous et je lui demandai même de prendre le rendez-vous pour moi car j’étais trop gêné d’expliquer la situation au serrurier. Une heure plus tard, je recevais un nouveau mail m’indiquant que le serrurier passerait vers 14h00 le jour même, et qu’elle serait présente un peu avant pour ne rien rater.
A 13h45, la sonnette retentit et j’ouvris la porte à Floriane. Elle ne put s’empêcher de rire en me voyant, me fit la bise et entra. Elle me dit que le serrurier n’allait pas tarder, et me demanda où je comptais me mettre pour qu’elle puisse se mettre en place. Ayant eu sa réponse, elle sortit sa caméra et s’installa.
Un peu avant 14h00, alors que la tension montait sérieusement et que, pour une raison inconnue, l’excitation aussi, faisant très mal à mon sexe, la sonnette retentit à nouveau. Je demandai à Floriane d’ouvrir mais elle refusa, et je me résignai donc à aller ouvrir. Après avoir demandé s’il s’agissait bien du serrurier, j’ouvris la porte et je restai bouche bée en voyant entrer cette superbe brune d’une bonne vingtaine d’années. Je ne m’attendais pas à ça, étant persuadé que les serruriers étaient tous des hommes, baraqués de préférence. Mais visiblement, Floriane avait dû bien chercher pour trouver une fille, et surtout elle n’avait pas dû lui expliquer la situation, car la serrurière semblait aussi surprise que moi.
Peinant à retenir des éclats de rire, celle-ci me demanda alors où était le cadenas pour lequel nous l’avions appelée, et je répondis alors honteusement qu’il y en avait plusieurs, en lui montrant comme je pouvais les différents emplacements.
Essayant de retrouver son sérieux, la serrurière me demanda malgré tout si j’étais bien sérieux et si je n’avais vraiment plus les clés. Je jetai rapidement un œil en direction de Floriane, qui ne manquait pas une miette avec sa caméra. C’est à ce moment que la serrurière aperçut Floriane, qui lui demanda si elle pouvait filmer l’intervention. Elle répondit par l’affirmative, à condition de pouvoir récupérer une copie de la vidéo. Elle me demanda alors de me tourner pour commencer par détacher la chaîne. Après quelques minutes de bruits d’outils dans mon dos, je sentis une nouvelle liberté dans mes mouvements, ce qui me fit comprendre que le premier cadenas était enlevé.
Elle s’agenouilla alors derrière moi pour s’occuper des menottes des chevilles. Vu nos positions, elle devait avoir une vue magnifique sur mon postérieur, et je faisais tout pour essayer de ne pas y penser, car mon sexe me faisait déjà extrêmement mal dans son petit écrin de plastique. Après là encore quelques minutes de travail, je fus enfin libéré et je pus écarter un peu mes jambes.
Elle se mit alors à genoux face à moi pour attaquer la serrure qui me stressait le plus : celle de la cage de chasteté. Mais alors qu’elle allait commencer, elle s’arrêta en remarquant que mon sexe était vraiment très à l’étroit et que je devais être très excité par la situation. Elle me dit alors que si je voulais qu’elle termine le travail, il fallait d’abord qu’elle puisse profiter un peu de la situation. Elle me demanda donc de me mettre à quatre pattes et d’écarter un peu les jambes. Je ne savais pas si je devais accepter et je me tournai mécaniquement vers Floriane. Je la vis tout d’abord choquée puis ensuite très amusée. Son regard vicieux m’excita encore plus. En même temps, si elle ne finissait pas le travail, il faudrait que je fasse venir un autre serrurier devant lequel il faudrait que je me montre dans cette situation ridicule. Donc autant continuer et faire ce qu’elle me demandait.
Je me mis donc à quatre pattes. Elle se plaça derrière moi et sortit quelque chose de son sac. Après quelques secondes d’attente, je sentis quelque chose de froid entrer dans ma raie des fesses et arriver contre mon anus. Des petits mouvements lents firent entrer cet objet progressivement dans mon anus, et je me rendis alors compte, à partir des mouvements que je sentais derrière moi, qu’il devait s’agir d’un gode-ceinture. Je ne savais plus trop comment réagir, à la fois honteux mais en même temps très excité par les va-et-vient délicats. Je décidai donc de me laisser faire, mon sexe me faisant de plus en plus mal en cherchant vainement à sortir de sa prison.
Après quelques minutes de cet agréable châtiment, je sentis le gode se retirer et la serrurière se relever. Elle me contourna et s’agenouilla devant moi, présentant alors le gode-ceinture devant ma bouche. Elle me dit alors d’ouvrir la bouche et de lécher et sucer, car elle n’aime pas ranger ses accessoires s’ils sont sales. Et effectivement, elle avait raison, l’objet qui se présentait devant moi était sale : il portait très nettement les traces de son activité précédente. Je refusai donc dans un premier temps de laisser entrer le gode dans ma bouche, mais elle me rappela que si je voulais qu’elle finisse de me libérer, il fallait que j’exécute ce qu’elle me demandait.
J’ouvris donc la bouche et laissai donc le gode-ceinture y pénétrer. Le premier contact avec ma langue fut écœurant, le goût du passage dans mon anus me faisant avoir un haut-le-cœur. Mais n’ayant pas trop le choix, je m’appliquai pour nettoyer au plus vite son « outil » et en finir avec cette situation. Au bout de quelques secondes, je me surpris même à avoir à nouveau mal au sexe, preuve que cette activité m’excitait elle aussi.
Après quelques minutes, la serrurière sortit le gode-ceinture de ma bouche et, constatant qu’il était propre, me fit me relever. A genoux devant moi, elle se retrouva alors nez-à-nez avec mon sexe. Elle commença alors son travail pour me libérer, et parvint à ouvrir le cadenas après quelques nouvelles minutes. Malheureusement, mon sexe ayant tellement gonflé suite à la fellation sur le gode-ceinture et aux manipulations de mon sexe qui ont été nécessaires pour ouvrir le cadenas, il ne voulait pas sortir de sa cage. Je suggérai donc à la serrurière de la laisser en place, et que je l’enlèverais au calme après son départ.
Ma suggestion ne fut pas du goût de la jeune femme, qui tira alors d’un coup sec sur la cage, faisant sortir douloureusement mon sexe raide comme rarement, juste devant ses yeux. Le spectacle devait lui plaire, au vu de son regard affamé. De mon côté, je n’en pouvais plus et je n’espérais qu’une seule chose, quelle engouffre mon sexe dans sa bouche et me libère de toute la pression accumulée.
Mais elle n’en fit rien et me demanda de me tourner. Elle entreprit donc de libérer mes mains, puis rangea ses outils. Floriane la rejoint alors, et elles se mirent à discuter de moi, de mon corps, de ce qui s’était passé quelques minutes auparavant et de ce qui s’était passé la veille. Mon excitation ne descendait pas sous leurs regards coquins.
Après quelques minutes encore comme cela, Floriane tendit une clé USB à la serrurière en lui précisant qu’elle venait de copier la vidéo dessus, ainsi que toutes les photos et vidéos de la soirée de la veille. Elle lui dit également de ne pas hésiter à profiter de la valeur de ces documents. Les deux jeunes filles prirent congé et me laissèrent là, immobile, ne sachant plus que faire ni penser, avec mon sexe raide à m’en faire mal, même sans sa cage.
Et voilà le retour des questions dans mon esprit. Floriane va-t-elle réellement garder les photos et vidéos en privé ? Va-t-elle s’en resservir pour un nouveau chantage plus tard ? Va-t-elle également diffuser la vidéo du jour ? Et notre serrurière, que va-t-elle faire avec ces images ? Va-t-elle les garder pour elle ou les diffuser ? Et va-t-elle également suivre les conseils de Floriane et s’en servir pour me faire chanter ?