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Les fantasmes d'un rennais

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Sur ce blog vous trouverez des scénarios plus ou moins détaillés des fantasmes d'un quarantenaire rennais. Délires un peu bizarres parfois, autour de la soumission, de l'humiliation et de l'exhibition. Des rennaises pour m'aider à les mettre en œuvre ? Contactez moi je suis à votre disposition

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Les fantasmes d'un rennais

Les vestiaires

Le 04/08/2025

Aujourd'hui, j'assiste exceptionnellement à l'entrainement des filles de mon club. Au moment de sortir des toilettes, je croise Mel qui me demande de venir la voir dans leur vestiaire car elle veut me dire quelque chose. Ne me méfiant pas, je la suis, et je suis rapidement surpris par un croche-pieds qui me met au sol. C'est Aurélie, qui était cachée, qui vient de me faire tomber. Elles me prennent alors chacune par 2 membres, et me font glisser jusqu'au milieu des douches. Mel maintient alors mes pieds pendant que Aurélie déchire mon tee-shirt. Aurélie s'assit alors sur mon torse, pendant que Mel se charge de m'enlever mon pantalon et mon boxer. La honte est alors déjà bien là, mais Mel attache alors chacune de mes chevilles à un tuyau de douche avec une corde, de manière à me laisser les jambes légèrement relevées et très écartées. Immobilisé en bas du corps, les filles n'ont alors aucune difficulté à faire de même avec mes bras, avant de me bander les yeux. Je les entends alors s'éloigner, puis n'entends alors plus un bruit si ce n'est quelques cris venant de la salle. Je comprends alors assez rapidement que le fait de m'installer ainsi devant leurs yeux n'était pas leur but, mais qu'elles vont me faire patienter ainsi jusqu'à la fin de leur entrainement. Le moment tant redouté arrive donc, et j'entends malheureusement, comme je le craignais, bien plus de 2 filles entrer dans les vestiaires. Les rigolades vont bon train, mais visiblement personne ne m'a encore vu. Mais après seulement quelques minutes, la première se dirige vers la douche et n'arrive pas à étouffer un éclat de rire en m'aperçevant ainsi installé. De mon côté, le bandeau est très bien mis, ce qui fait que je ne peux ni savoir qui vient de me voir, ni profiter de la vue sur son corps nu à côté de moi. Le rire fait immédiatement s'approcher les autres filles, qui rient à leur tour, et ne tardent pas à immortaliser le moment avec leurs téléphones et appareils photos. Elles se décident alors à prendre leur douche, pendant laquelle je suis arroser d'eau, d'abord glaciale puis plus chaude, de gels douches et autres shampooings, pendant que les filles s'amusent à me regarder remuer dans tous les sens pour essayer de me libérer ou d'éviter les jets d'eau. C'est alors qu'une des filles dit en rigolant que le fait de rire lui donne envie de pisser. Dans un fou rire général, je suis alors arrosé d'un jet (puis rapidement d'autres) beaucoup plus chauds, qui arrivent droit sur mon corps et surtout sur mon visage. Puis la douche se termine tranquillement, les rires ne s'interrompant pas, et j'entends de moins en moins de bruit. Une main détache alors mon poignet droit, puis j'entends cette dernière fille sortir en courant. Je profite alors de ma main libre pour me détacher difficilement, me relève, et me passe rapidement sous l'eau pour laver les restes d'urine sur mon corps (je n'ai pas de savon pour faire mieux). En sortant des douches, je m'aperçois alors qu'il ne reste rien dans le vestiaire, ni serviettes, ni sacs, ni vêtements. Je suis alors obligé de quitter le vestiaire ainsi nu, et la honte est à son comble quand je me retrouve face aux filles qui n'attendaient que de me voir sortir. Après de nouveaux fous rires et flashs d'appareils photos, Mel me lance mes fringues et les filles me laissent me rhabiller et partir, en passant à côté d'elles la tête basse...
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Des fesses qui coûtent cher

Le 15/07/2025

Alors que j'arrive près de l'entrée d'un centre commercial, je passe à proximité d'un groupe de quatre jeunes femmes d'une vingtaine d'années qui discutent, un peu à l'écart. Au moment de passer à côté du groupe, une des jeunes femmes recule brusquement. Surpris, et pour ne pas me faire bousculer, je m'écarte de mon chemin comme je peux, suffisamment pour ne pas me faire bousculer, mais pas suffisamment pour éviter le contact. Le dos de ma main touche alors brièvement les fesses de cette jeune femme. Elle se tourne alors vers moi et, alors que je m'attends à des excuses de sa part, m'interpelle vigoureusement : " Ca va pas de me mettre une main aux fesses, espèce de vieux porc ? " C'est au moment où elle se retourne que je me rends alors compte qu'il s'agit en fait de la fille d'un ami, Audrey. Surpris à la fois par le fait de la croiser là et par sa réaction, je ne sais pas trop comment réagir et j'essaye de lui faire comprendre que c'est elle qui m'est rentrée dedans en reculant, mais ça ne fait qu'empirer sa colère. " Ah parce qu'en plus ça va être de ma faute ? Tu crois quand même pas que parce qu'on se connaît je vais laisser passer ça ? " " Mais je n'ai vraiment rien fait de mal. Je te connais depuis que tu as 10 ans, je n'aurais jamais fait ça. Qu'est-ce que je peux faire pour arranger la situation ? " " Ben le minimum serait de t'excuser ! " Je regarde alors ses amies qui semblent la soutenir et me regardent avec un air de mépris. " Je ne vois pas trop ce que j'ai à me reprocher, mais bon si tu veux je vais m'excuser. Je suis désolé Audrey. " Après quelques secondes sans réponse de sa part, je pense avoir réussi à apaiser la situation. Mais cet espoir est de courte durée, puisqu'Audrey reprend de plus belle : " Et tu crois que je vais me contenter de ça ? Tu es désolé de quoi ? " " Ben je sais pas, de t'avoir effleurer les fesses avec le dos de ma main ? " " Tu plaisantes ou quoi ? Tu m'as mis une main aux fesses et je veux que tu t'excuses vraiment ! " " Mais ce n'est pas ce que j'ai fait ! " " Les filles, vous êtes témoins, il m'a mis une main aux fesses ? " Je fais alors le tour des regards des autres jeunes femmes, et elles n'ont même pas besoin de parler pour confirmer leur soutien à Audrey, qui relance : " Alors tu t'excuses ou on va appeler des passants en leur expliquant ce que tu as fait et tu verras bien ce qui va arriver ? " Ne voulant pas envenimer les choses et me retrouver potentiellement dans une situation délicate avec des passants que je ne connais pas, je préfère finalement par céder : " Je suis vraiment désolé Audrey ! " " De quoi ? " " De… t'avoir mis une main aux fesses " Subitement, le regard d'Audrey change et celui de ses amies également, passant d'un énervement intense à un côté plutôt vicieux qui ne me plaît guère plus. Audrey reprend alors : " Ah, on va enfin pouvoir avancer. Tu as tout enregistré Emi ? " " Oui, pas de souci, j'ai ses aveux. " répondit-elle en lui montrant son téléphone. Audrey me regarde à nouveau avec un regard qui ne me rassure pas du tout : " Alors tu crois vraiment que ça va me suffire ? Je veux que tu te mettes à genoux devant moi et que tu t'excuses en m'embrassant les pieds. " " C'est une blague ? " " Est-ce que j'ai l'air de plaisanter ? Tu as le choix, soit tu le fais, soit Emi va voir des passants, ou peut-être même des policiers qu'en penses-tu, pour leur montrer tes aveux. Et dans ce cas je te laisse imaginer ce qu'il va se passer. " Je suis complètement dépassé par la situation, et je ne sais vraiment plus quoi penser. Mais la perspective de me retrouver face à des passants prêts à en découdre suite à ce que j'aurais soit-disant fait me fait peur, et je finis pas céder. " OK je vais le faire. " Le regard d'Audrey prend alors des airs victorieux alors que ses amies rigolent d'avance de ce qui va se passer. Emi prépare par ailleurs son téléphone pour filmer la scène. Je m'agenouille donc face à Audrey et je m'apprête à lui embrasser les pieds quand elle m'arrête brusquement : " Attends, on va faire mieux que ça. Tu vas m'enlever mes chaussures et mes chaussettes, et tu vas me lécher les pieds, partout, jusqu'à ce qu'ils soient bien propres ! " " Non mais ça ne va pas la tête ? " " Emi, vas-y, va voir les 2 gars là-bas. Et envoie la vidéo à mon père aussi ! " " Non attends je vais le faire. " Audrey reprend alors son air victorieux, et je commence à enlever sa basket gauche, puis sa chaussette. Je m'arrête alors quelques instants, ayant du mal à me décider à faire ça, qui plus est devant ses trois amies. Mais je suis vite repris à l'ordre : " Allez, dépêche-toi, je n'ai pas que ça à faire. Et pense bien à lécher partout, n'oublie pas de passer entre les orteils, je ne supporte plus d'avoir les pieds moites ! " J'attrape donc son pied et approche lentement mon visage. En cette journée plutôt chaude, il est effectivement moite de sueur, et plus je m'approche, plus je sens l'odeur qui s'en échappe. Malgré cette odeur désagréable, je continue jusqu'à ce que mes lèvres touchent son pied. Je sors alors ma langue et m'applique à bien lécher partout, n'osant lever mes yeux ni vers Audrey ni vers ses amies. J'entends néanmoins leurs remarques, mêlant ricanements et dégoût, remarques qui, ajoutées à l'humiliation de la situation, ont un effet des plus excitants. Une fois terminé, je relève la tête et regarde Audrey, qui, d'un air triomphant, me dit : " C'est bien, mais maintenant mon pied est mouillé, il faut l'essuyer. " Je lui demande alors si elle a une serviette. " Non, qu'est-ce que je ferais avec une serviette sur moi. Tu vas prendre ton tee-shirt ! Allez dépêche-toi j'ai froid au pied ! " N'osant pas la contredire une nouvelle fois, j'enlève donc mon tee-shirt, penaud, et je m'applique à bien essuyer son pied. Audrey me demande alors de le poser un terre pour qu'elle puisse bien essuyer le dessous de son pied. Après avoir bien frotté son pied dessus, elle le ramasse avec dégoût et dit à son amie Marie : " Tiens Marie, il est dégueulasse maintenant, on ne va pas lui imposer de remettre un tee-shirt dans cet état. Mets-le dans la poubelle là-bas. " Elle donne alors mon tee-shirt à Marie, qui se dirige vers une poubelle située à l'entrée du centre commercial, à une centaine de mètres de là, sans que j'ai vraiment le temps ni le réflexe de réagir, complètement dépassé par la situation. Tout se chamboule dans ma tête, entre ce que je viens de faire et le fait que je suis maintenant torse-nu à proximité de l'entrée du centre commercial. Mais je suis vite sorti de mes pensées, puisqu'Audrey a posé son pied gauche à terre et me tend désormais son pied droit : " Allez, l'autre pied est jaloux, dépêche-toi ! " " Non mais c'est bon, j'ai fait ce que tu m'as demandé, tu m'as assez humilié comme ça ! " " Ok comme tu voudras. Emi, à toi de jouer. " Emi se dirige alors vers l'entrée du centre commercial, préparant la vidéo sur son téléphone. Après quelques secondes de réflexion, alors qu'Emi s'est éloignée d'une vingtaine de mètres, je la rappelle : " Non, reviens, c'est d'accord ! " Emi s'arrête alors et fait demi-tour, pendant qu'Audrey me tend à nouveau son pied. A nouveau, je déchausse Audrey, et je m'applique à bien lécher son pied, partout, en étant toujours aussi excité par cette situation humiliante. Une fois terminé, je lève à nouveau la tête et je suis surpris par cet air supérieur que je n'aurais jamais soupçonné d'Audrey. " Allez, on essuie maintenant ! " " Mais tu veux que j'essuie avec quoi ? Je n'ai même plus mon tee-shirt ! " " Ben prends ton short, tant pis ! Et dépêche-toi ! " Je baisse les yeux au sol, encore une fois choqué par cette nouvelle demande d'Audrey. " Mais je ne vais quand même pas me mettre en sous-vêtements ici ? " " C'est toi qui décides. Mais fais-le vite ! " Analysant rapidement la situation et regardant Emi, déjà prête à repartir interpeler des clients avec son téléphone, je ne vois pas d'autre solution et j'enlève lentement mon short, pendant que les filles éclatent de rire et que même Audrey peine à garder le sérieux nécessaire pour maintenir son emprise. Une fois le short enlevé, j'essuie alors le pied d'Audrey puis je pose mon short à terre à sa demande pour qu'elle puisse à nouveau bien frotter le dessous de son pied. Elle me demande alors de remettre directement sa chaussette et sa chaussure pour éviter d'avoir à resalir son pied en le posant à terre. Puis elle ramasse alors mon short : " Marie, vu l'état dans lequel il est, je pense qu'il peut finir au même endroit que son tee-shirt. Qu'en penses-tu ? " Marie répond alors : " Complètement d'accord, ce serait dégueulasse qu'il remette ça sur lui. J'y vais. " Elle prend alors mon short et se dirige vers la poubelle. Me rendant compte de la situation, je réagis : " Non mais vous ne pouvez pas faire ça, je suis en boxer sur un parking de centre commercial. Vous n'allez quand même pas me laisser rentrer chez moi en boxer ? S'il-vous-plaît, rendez-moi mon short ! " Audrey éclate alors de rire : " Mais non, ne t'inquiète pas, on ne va pas te laisser rentrer en boxer. Mais là ce n'est vraiment pas possible, tu ne peux pas remettre ça. " Pendant ce temps, Marie a à peine tourné le regard vers nous et a poursuivi son chemin, mon short étant maintenant dans la poubelle avec mon tee-shirt. J'analyse alors la situation : je suis en boxer et tongs à 100 mètres de l'entrée d'un centre commercial, au milieu de quatre filles qui m'humilient et me font chanter en me menaçant avec des vidéos compromettantes. Je me sens à la fois mal à l'aise et humilié, mais bizarrement mon excitation est à son maximum, et heureusement que je suis accroupi, ce qui masque nettement la bosse formée dans mon boxer. Me sortant de mes réflexions, Audrey reprend alors : " C'est pas tout ça, mais tu ne m'as pas remis ma chaussure gauche. " Alors que je prends sa chaussette et que j'attrape son pied, mouillé après avoir été posé dans une flaque suite à l'averse d'orage qui est tombée un quart d'heure plus tôt, elle éclate de rire : " Non mais c'est une blague ? Tu ne crois quand même pas que tu vas remettre ma chaussette sur mon pied sale ? Il vient d'être posé à terre là dehors, dans cette flaque de je ne sais quoi, alors qu'il y a peut-être des chiens qui ont pissé à cet endroit. Tu vas d'abord me le nettoyer à nouveau ! " Alors que je m'apprête à refuser et à partir, me disant que si elles montraient effectivement la vidéo, je m'expliquerais, je repense au fait que je suis là, dehors, à côté d'un centre commercial, à vingt kilomètres de chez moi, et que je me vois mal rentrer ainsi. Repensant également au fait qu'Audrey m'a affirmé qu'elle ne me laisserait pas rentrer en boxer, je me dis qu'il vaut mieux continuer, même si l'idée de lécher son pied après qu'il ait traîné dans je ne sais quoi au sol ne m'enchante guère. J'attrape donc à contre-coeur le pied gauche d'Audrey, et commence à le lécher à nouveau. Contrairement à la première fois, l'odeur de pieds n'est plus présente, mais le dessous de son pied à un goût écoeurant, sans doute mélange d'eau de pluie, de pisse de chien, d'huile de moteur et de crachats d'adolescents. J'essaye de faire abstraction et me concentre pour bien tout nettoyer, puis j'attrape la chaussette pour la lui remettre. Elle m'interrompt alors : " Attends, essuie mon pied d'abord, sinon ma chaussette va être trempée ! " " Ok donne moi quelque chose pour l'essuyer, je n'ai plus rien à proposer. " " On n'a rien non plus. Désolée mais il va falloir que tu utilises ton boxer ! " A cette remarque, les filles éclatent de rire, alors que je réplique : " Non mais même pas en rêve, je ne me fous pas à poil devant vous ! " " Ok comme tu voudras. Mais à ton avis les passants penseront quoi en voyant tes aveux et en te voyant te balader en boxer à proximité d'un centre commercial ? A choisir entre te faire tabasser et finir en garde-à-vue, tu préfères quoi ? Emi, je te laisse faire le nécessaire ? " Ne laissant même pas à Emi le temps de s'éloigner, je réponds : " Bon ok mais tu me le rends après ! " " Ben fais ça bien et on verra, si t'es sage ! " Les quatre jeunes femmes éclatent à nouveau de rire devant mon air penaud, et après quelques nouveaux instants de réflexion, je commence à enlever mon boxer, en faisant bien attention de rester bien à genoux pour ne pas montrer mon intimité aux filles et ne pas leur faire voir que la situation m'excite malgré tout. J'utilise alors mon boxer pour essuyer son pied, en m'appliquant, puis je le pose à terre à sa demande pour qu'elle puisse à nouveau frotter correctement le dessous de son pied. Je lui remets alors sa chaussette et sa chaussure pendant qu'elle ramasse mon boxer et le laisse "malencontreusement" tomber dans la flaque dans laquelle reposait son pied auparavant. " Oups désolée, je suis vraiment maladroite. Il est tout mouillé et vraiment dégueulasse maintenant. Tu le veux quand même ? " Ne me posant pas de question, je réponds naturellement que oui pour au moins pouvoir remettre le boxer, au cas où Audrey ait bluffé auparavant quand elle a dit qu'elles ne me laisseraient pas rentrer en boxer. Audrey fait mine de réfléchir quelques instants, puis reprends : " Ok pourquoi pas, tu as été bien sage, peut-être que je peux être gentille aussi, mais à une condition. On est curieuses donc on veut en voir plus. Donc si tu te mets debout et que tu restes sans bouger, les mains dans le dos, pendant au moins trente secondes, tu auras peut-être une bonne surprise. " Ses amies sont aussi étonnées que moi par cette nouvelle demande, ne s'attendant pas à ce que Audrey aille aussi loin. Mais elles ricanent de plus belle face à la situation. Ne maîtrisant plus rien, à poil près de ce centre commercial, je me dis que je n'ai rien à perdre car de toutes façons si je refuse il faudra bien que je me relève à un moment donné pour rentrer chez moi, et qu'elles n'ont qu'à attendre de moment pour me voir nu. " Ok c'est d'accord, mais je ne veux pas voir de téléphone braqué sur moi ! " " Oh, merci pour l'idée, c'est top ! De toutes façons tu n'as pas à nous dire ce qu'on doit faire. C'est toi qui vois si tu veux que je reste gentille ou pas. Marie, Sophie, mettez-vous derrière lui, Emi, viens avec moi devant. Prenez vos téléphones et mitraillez de photos quand il sera en position. " Toujours plus dépité mais à la fois très excité par la situation, je décide alors de m'exécuter, et je me relève lentement, les mains cachant mon sexe, devant l'air triomphant et hilare et filles. " Allez, les mains dans le dos, plus vite que ça ! " J'enlève alors mes mains et les mets dans mon dos, déclenchant de nouveaux éclats de rires et de multiples photos. " C'est pas vrai, il ande en plus, trop fort. On dirait que ça l'excite d'être humilié ainsi ! " Audrey annonce la moitié du temps, et je me dis que mon calvaire est bientôt enfin terminé, quand Sophie m'attrape les bras dans mon dos pendant que Marie se charge de les attacher ensemble avec plusieurs tour d'adhésif. Les filles éclatent à nouveau de rire, pendant que Marie et Sophie passent également devant moi pour profiter de la situation. J'essaye de la jouer "bon perdant" pour bénéficier de la gentillesse d'Audrey comme prévu : " Ok je m'incline, bien joué. Par contre j'ai tout fait comme tu l'as demandé, donc je peux récupérer mon boxer maintenant ? " " Effectivement tu as été bien docile, je ne pensais pas que ce serait aussi facile. Mais je ne vais pas te rendre ton boxer pour autant. D'abord il est vraiment trop dégueulasse, je ne voudrais pas que tu attrapes des maladies. Ensuite tu n'as pas été si obéissant que ça puisqu'il a fallu que je te demande d'enlever tes mains pour les mettre dans ton dos et que tu ne l'as pas fait de toi-même. Et surtout je t'ai promis quelque chose tout à l'heure, c'est que tu ne rentrerais pas chez toi en boxer, et que je veux tenir ma promesse : du coup comme on n'a rien d'autre à te donner pour que tu puisses mettre sur toi… Donc au final tu ne rentreras pas en boxer, mais à poil ! " Au milieu d'un nouvel éclat de rires, je supplie alors : " Non mais tu n'es pas sérieuse, vous n'allez pas me laisser à poil ici ? " " On va se gêner. De toutes façons ton boxer est déjà dans la poubelle. " Effectivement, en levant la tête, j'aperçois au loin Emi jeter mon boxer avec mon tee-shirt et mon short. Au bord des larmes, je tente alors ma dernière chance alors que les filles me tournent déjà le dos pour rejoindre Emi au centre commercial : " Tu peux au moins me détacher mes bras ? " Audrey tourne alors juste la tête vers moi, et me lance : " Même pas en rêve, je ne voudrais pas priver les passants de ce spectacle. En plus tu as l'air d'adorer ça. Par contre n'oublie pas que dorénavant, si je te demande quelque chose, quoi que ce soit, tu rappliques en courant. Je pense que tu ne voudrais pas que la vidéo des aveux et les autres photos et vidéos d'aujourd'hui finissent entre de mauvaises mains ou sur le net. " Elle se retourne alors et le groupe continue son chemin d'un pas décidé. Arrivées à l'entrée du centre commercial, les jeunes femmes jettent un dernier regard dans ma direction, un sourire vicieux aux lèvres, en me faisant un petit signe de la main, avant de disparaître. Je reste alors là, entièrement nu à côté d'un centre commercial, à vingt kilomètres de chez moi, les mains attachées dans le dos. Que faire alors ? Comment rentrer chez moi sans me faire repérer ? Et ensuite, à quel point Audrey va-t-elle profiter de la situation pour m'utiliser à sa guise ?
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La soirée de gages coquins

Le 11/07/2025

J’avais enfin eu la chance de trouver une jeune fille pour une soirée de jeux avec gages sexys. Ce soir-là, j’avais donc rendez-vous chez Floriane, que je m’apprêtais à rencontrer pour la première fois. Arrivé devant la porte de son appartement, je n’eus même pas le temps de sonner que je fus accueilli par l’occupante des lieux. Floriane était une jolie brune d’une vingtaine d’années, avec un très joli sourire. Après être entré, j’eus l’occasion d’apprécier par ailleurs ses belles fesses de sportive, parfaitement moulées dans le mini-short que mon hôte avait choisi pour l’occasion. Floriane me proposa alors un verre, que j’acceptais, et me précisa qu’elle s’était permis d’inviter 2 copines à participer à notre soirée. Cela ne me posait bien entendu aucun problème, et ne faisait au contraire qu’augmenter mon excitation. Quelques minutes plus tard, les 2 autres invitées étaient arrivées, et Floriane me les avait alors présentées : il y avait Typhaine, une autre brune avec un très joli visage, et un physique un peu moins élancé mais plus sportif, bien mis en valeur dans une robe bleue s’arrêtant à mi-cuisses, et Amandine, une grande blonde plutôt mince, portant quant à elle une robe rouge très courte. Après quelques banalités permettant de faire quelque peu connaissance et de partager un verre, tout le monde décida de commencer le jeu. J’avais proposé à Floriane de lui laisser le choix des jeux, tout en sachant que ça lui donnait un petit avantage, mais bon ça avait permis de m’aider à la convaincre de faire cette soirée. Floriane annonça donc le déroulement du premier jeu : chacune des filles pouvait à tour de rôle me lancer un défi, sachant que si je le relevais, la fille en question devait enlever un vêtement, et sinon, c’était à moi d’en enlever un. Cela ne me paraissait pas très équitable, mais bon j’avais dit que Floriane pouvait choisir les jeux, donc je me lançais. C’est Typhaine qui me lança le premier défi : j’avais 45 secondes pour descendre les 3 étages de l’immeuble par l’escalier et les remonter par l’ascenseur. C’était un défi assez aléatoire, car cela me paraissait largement faisable si l’ascenseur n’était pas trop long à arriver. Je décidais donc de tenter de le relever, et le top départ fut donné. Je dévalais les escaliers à toute vitesse, assez confiant, et j’appuyais sur le bouton de l’ascenseur dès mon arrivée au rez-de-chaussée. Malheureusement, en levant la tête, je m’aperçus que l’ascenseur venait juste de partir en montant. C’était encore possible, mais il fallait qu’il revienne assez rapidement. Mais je dus constater qu’après être monté au 3ème étage, l’ascenseur s’arrêta ensuite au 2nd puis au 1er avant de revenir s’ouvrir devant moi. Je remontais donc les 3 étages tout en sachant que j’avais échoué pour ce premier défi. De retour dans l’appartement, j’enlevais donc mes tongs et demandais mon défi suivant. Ce fut alors au tour d’Amandine de me défier : elle sortit 2 chaussures avec d’énormes nœuds dans les lacets. Le gagnant serait celui ou celle qui aurait démêlé les nœuds en premier, et j’avais même le choix de la chaussure. Je choisis donc celle qui me semblait la moins emmêlée, et Amandine la passa alors à Floriane pour qu’elle me la donne, tout en attirant mon attention en me narguant et en me disant qu’elle allait me battre. Quand je reçus la chaussure de la part de Floriane, j’eus l’impression que le nœud était nettement plus serré que je ne l’avais vu auparavant, mais je me dis que ce devait être une illusion d’optique ou que j’avais peut-être mal évalué les 2 nœuds. Au top, je me lançais donc dans le démêlage, mais le nœud était effectivement très serré et je fus battu à plate couture. Je dus donc me résoudre à enlever mon tee-shirt, sous les regards coquins des filles, et avec une Amandine qui me narguait encore davantage. Floriane me lança alors à son tour son défi : j’avais 3 minutes pour trouver une personne qui accepte d’écrire un message dans mon dos au marqueur. Sur le coup, cela me sembla plutôt simple, Floriane habitant dans une résidence étudiante qui devait bien comporter une cinquantaine d’appartements au minimum… Je partis donc pour le défi, mais je dus rapidement me rendre à l’évidence : c’est bien les résidences étudiantes, mais au mois d’août, il n’y a pas grand monde… Au final, entre les appartements vides, les filles qui refusèrent d’ouvrir en me voyant torse nu et les étudiants qui n’avaient (soi-disant ?) pas de marqueur, je dus me résoudre à échouer une nouvelle fois. A mon retour dans l’appartement de Floriane, je me tournais à la demande des filles pour leur montrer mon dos, et je reçus alors tous les encouragements nécessaires pour continuer mon effeuillage. La situation devenait alors un peu plus gênante, et plus excitante à la fois, et je mis un peu plus de temps à enlever mon short. Je me retrouvais alors en boxer devant ces trois jolies jeunes filles qui me regardaient en rigolant et ne pouvaient ignorer la bosse formée dans mon boxer. Le premier jeu étant terminé, Floriane me demanda si je voulais continuer à jouer, et j’acceptais bien entendu. C’était quand même pour ça que j’étais là… Floriane m’annonça donc le 2ème jeu : chacune des 3 filles allait à son tour me poser une série de 5 questions issues du Trivial Poursuit. Les 5 questions seraient d’une même couleur, que je pourrais choisir, mais je n’avais le droit de demander qu’une seule fois chaque couleur. Si je répondais correctement aux 5 questions, la fille devait directement se mettre nue, et par contre, si je me trompais sur une des questions, je devais enlever un vêtement. Ce fut de nouveau à Typhaine de commencer, et elle me demanda la couleur choisie. Après réflexion, je décidais de garder la couleur orange, qui concerne des questions de sport, pour Floriane, qui est celle des trois filles qui me plaisait le plus et que j’avais le plus envie de voir nue. Les autres catégories m’inspirant assez peu, je finis par me décider pour la couleur verte. Typhaine allait donc me poser 5 questions sur la nature et les sciences. Elle prit donc un tas de 5 cartes présent sur une petite table à côté d’elle et commença. Je n’étais pas hyper confiant, mais je savais que sur ce thème j’avais une chance de m’en sortir malgré tout… Je répondis alors facilement à la première question, la deuxième fut plus compliquée mais je m’en sortis malgré tout, mais par contre la troisième marqua la fin de ce premier duel. Je réalisais alors que c’était également le moment qu’attendaient les filles et un moment délicat pour moi. En effet, je devais enlever un vêtement, et comme il ne m’en restait plus qu’un… Voyant ma gêne, les filles ne se firent pas prier pour en rajouter et m’encourager à coups de « A poil, à poil… ». Je tournais alors le dos aux filles, puis, prenant mon courage à deux mains, je baissais puis enlevais mon boxer sous les sifflets des filles. Mais cela ne leur suffisait bien sûr pas, et elles me demandèrent alors de me retourner, puis d’enlever mes mains que j’avais mises devant mon sexe pour le cacher. C’était le jeu et je l’avais accepté, et je m’exécutais donc, laissant apparaître mon sexe, bien gonflé par l’excitation, aux yeux satisfaits et coquins des filles. Les filles sortirent alors leur téléphone pour immortaliser la scène, et je m’empressais de mettre mes mains devant mon sexe pour cacher mon intimité sur les photos qu’elles prenaient. Après avoir profité un petit peu du moment, Amandine rappela que c’était à son tour de me poser des questions, et demanda alors à Floriane comment cela se passait car je n’avais plus de vêtements à enlever. Notre hôte indiqua alors qu’en cas d’erreur, on m’attacherait les mains dans le dos avec des menottes. L’idée sembla plaire à Amandine, qui me laissa alors choisir une couleur. Je choisis donc, sans conviction, les questions de couleur bleue, même si la géographie n’est pas forcément quelque chose que je maîtrise bien. Amandine prit donc elle aussi un tas de 5 cartes et me posa la première question… A laquelle je ne sus déjà pas répondre. Cette manche se termina donc très rapidement, sous les moqueries coquines des filles, et Amandine prit donc la paire de menottes tendue par Floriane. Elle me les passa alors autour des poignets, maintenant ainsi mes mains attachées dans mon dos, m’empêchant donc de cacher mon sexe. Celui-ci était d’ailleurs de plus en plus tendu, sous le coup de l’excitation, et les filles ne manquèrent pas de le remarquer. Cela ne fit d’ailleurs que s’accentuer quand Floriane jugea bon de préciser que ce n’étaient pas des jouets et qu’il n’y avait donc pas de mécanisme de sécurité permettant de me libérer seul : seules les clés pouvaient ouvrir les menottes. Cette remarque fit beaucoup rire les filles, qui reprirent leur téléphone portable pour me photographier sous toutes les coutures, d’autant que je ne pouvais dorénavant plus cacher mon sexe. Floriane demanda alors à son tour quelle couleur je choisissais pour sa série de questions, en précisant que si j’échouais, le même sort qu’à mes poignets serait réservé à mes chevilles. Comme je l’avais prévu, je demandais alors la couleur orange, correspondant aux sports et loisirs, sujet que je maîtrise plutôt pas mal. Floriane prit alors un autre tas de 5 cartes, et commença à me poser ses questions. J’étais très excité car j’imaginais déjà très bien mon hôte devoir se dévêtir entièrement. Tout commença très bien, avec des premières questions très faciles, et je répondis sans aucun souci aux 4 premières, mon excitation à l’idée de voir Floriane nue augmentant au fil de mes bonnes réponses. Bizarrement, cela ne semblait pas inquiéter Floriane, qui gardait le sourire et destina même un clin d’œil malicieux à ses copines. Je compris mieux cette attitude quand j’entendis la dernière question, concernant un sportif dont j’ignorais même l’existence. Bien entendu, je dus à nouveau m’avouer vaincu, pour le plus grand plaisir des filles. Floriane saisit donc une nouvelle paire de menottes, qui me semblèrent du même type que celles qui bloquaient mes poignets dans mon dos, et attacha mes chevilles l’une à l’autre, en prenant soin de poser les clés sur une armoire avec les autres. Le 2ème jeu étant terminé, Floriane me demanda alors si je souhaitais continuer à jouer. Je dois avouer que la question s’est posée le temps d’un instant, mais j’étais quand même venu pour ça, je n’avais pas encore réussi à enlever le moindre vêtement aux filles, et je dois avouer que la vulnérabilité dans laquelle je me trouvais face à ces 3 jolies demoiselles m’excitait au plus haut point. Je décidais donc de continuer à jouer. Floriane annonça donc le 3ème jeu : une partie de Uno en 2 manches. Pour chaque manche, si une fille perdait, elle devait se déshabiller entièrement, et si je perdais, la gagnante pourrait attacher les menottes de mes chevilles à celles de mes poignets pour la première défaite, et me mettre une cage de chasteté si je perdais la 2ème manche également. L’enjeu me paraissait nettement plus intéressant pour moi que pour elles, et j’étais donc plutôt content… jusqu’au moment où je me suis demandé comment j’allais faire pour jouer au Uno avec mes mains attachées dans le dos. J’ai donc posé la question à mon hôte qui m’a répondu en rigolant que je devais me débrouiller. Retournant le problème dans tous les sens, je dus me rendre à l’évidence en constatant que ma seule solution pour voir mes cartes était de les poser face visible sur la table. Malheureusement, cela signifiait que les filles pouvaient également les voir. Elles n’eurent alors aucun problème à me battre, en posant systématiquement des cartes sur lesquelles je ne pouvais pas jouer. Dépité, je ne pus donc que regarder Typhaine, qui avait gagné la 1ère manche, prendre la chaîne et les 2 cadenas tendus par Floriane, et s’en servir pour relier mes 2 paires de menottes. La bonne nouvelle était que la chaîne était assez longue pour me tenir debout et ne pas avoir à conserver les jambes pliées, la mauvaise était que le matériel utilisé semblait là encore très solide et que les clés furent à nouveau posées sur la même armoire que précédemment. Après la deuxième manche, je dus ensuite laisser Floriane, la gagnante, me conduire sous une douche froide pour faire tomber mon excitation. Cela ne suffisant pas, elle se chargea alors de me masturber vigoureusement, sous le regard de ses copines et de leur téléphone : le résultat ne se fit pas attendre bien longtemps et j’éjaculai honteusement devant les trois filles. L’effet cumulé de la baisse d’excitation liée à l’éjaculation, de la douche glacée, et de la honte ressentie firent prendre à mon sexe une taille minuscule. Mortes de rire en voyant cela, les filles immortalisèrent à nouveau le moment, puis Floriane en profita rapidement pour m’enfiler une cage de chasteté en pvc très rigide mais transparent, cage qu’elle n’eut aucun mal à serrer au maximum étant donnée la taille de mon sexe et à fermer à l’aide d’un autre solide cadenas, dont la clé suivit le même chemin que les précédentes. A la fin de ce 3ème jeu, je me retrouvais donc entièrement nu, les poignets attachés entre eux dans mon dos par de solides menottes, les chevilles également, les premiers reliés aux secondes par une solide chaîne, une cage de chasteté transparente enfermant mon sexe, et le tout devant trois jolies jeunes filles, entièrement habillées, qui se rincent l’œil, rigolent et prennent la scène en photos. Sans que je sache pourquoi, cette situation refit malgré tout monter mon excitation, ce qui n’arrangea rien car la cage me faisait du coup horriblement mal au sexe. Au moment où Floriane me demanda si je voulais continuer à jouer, le scénario du dernier jeu où la partie n’était pas du tout équitable me fit reprendre un brin de lucidité, et je dis donc qu’on allait s’arrêter là. Floriane me dit alors qu’il n’y avait pas de problème et que je pouvais partir. Je lui demandai alors de me retirer tous mes liens, pour que je puisse me rhabiller et rentrer chez moi. Elle me répondit alors qu’elle ne le ferait pas, que j’avais perdu et qu’il fallait que j’assume et que je rentre chez moi ainsi, la soirée n’étant pas terminée. Elle me dit qu’elle viendrait me libérer et me rendre mes vêtements le lendemain. Voyant mon air sidéré et dépité, elle me proposa alors une alternative. J’acceptais un jeu supplémentaire, en quatre manches, et à chaque manche on mettait en jeu un vêtement : je n’avais qu’à gagner et je récupérais le vêtement en question. Voyant revenir le sourire sur mon visage, elle précisa qu’il y avait malgré tout une condition : à chaque manche, si je perdais, les filles prendraient le vêtement en question, le déchireraient ou le découperaient en petits morceaux, et le jetteraient dans le vide-ordures. Cela me plaisait déjà beaucoup moins, mais bon, si je refusais, je rentrais chez moi à poil de toute façon. J’acceptais donc ce nouveau jeu. Floriane annonça alors le 4ème jeu : il fallait se lancer un ballon de baudruche rempli d’eau, et celui qui le faisait tomber ou le faisait exploser avait perdu. En entendant cela, je protestai car mes mains attachées dans le dos me procuraient à nouveau un désavantage certain. Néanmoins, Floriane me rappela que j’avais accepté de faire un quatrième jeu, et que de toutes façons, si je ne voulais pas jouer, je serais rentré chez moi ainsi, et que je n’avais donc pas grand-chose à perdre. On commença donc la première manche, et les filles acceptèrent à ma demande qu’on commence par mettre en jeu les tongs, le temps que je m’habitue au jeu et à la position. Le ballon passa donc sans encombre de Floriane à Amandine, puis d’Amandine à Typhaine. Typhaine me l’envoya alors, et j’essayai tant bien que mal de le rattraper, quitte à me faire mal aux poignets. J’y étais presque, mais il m’échappa et tomba au sol. La première manche était perdue, et Typhaine récupéra donc mes tongs, coupa les lanières avec des ciseaux, et jeta le tout dans le vide-ordures. Pour la deuxième manche, je demandais à mettre en jeu mon boxer : je préfère rentrer chez moi en short, même sans boxer en dessous, plutôt qu’en boxer. Elles acceptèrent et changèrent l’ordre de jeu. Typhaine commença par passer le ballon à Floriane, qui l’envoya à Amandine. Elle me le jeta alors et je déplaçais mes mains pour le réceptionner. Malheureusement, je fis un mouvement un peu trop ample et rapide, et la chaîne reliant mes poignets à mes chevilles tira donc sur celles-ci, ce qui me fit glisser sur le sol mouillé suite à l’explosion du ballon précédent. Je me retrouvais donc au sol, tout comme le deuxième ballon qui explosa à côté de moi. Amandine se chargea donc de prendre mon boxer, de le couper en plusieurs endroits sur toute la hauteur, et de le jeter à son tour dans le vide-ordures. Pour la troisième manche, mon tee-shirt était en jeu, et il commençait à devenir important de ne pas perdre. Le ballon passa des mains d’Amandine à celles de Typhaine, puis de celles de Typhaine à celles de Floriane. Avec beaucoup de concentration, je réussis à récupérer le ballon envoyé par Floriane et, content de moi, j’essayai alors de le renvoyer à Amandine. Mais les restrictions de mouvements imposées par les menottes et la chaîne limitèrent la distance d’envoi et le ballon tomba pratiquement à mes pieds. Je fus donc logiquement à nouveau déclaré perdant, et Amandine prit donc mon tee-shirt et tira dessus de toutes ses forces pour le déchirer en plusieurs morceaux. Elle le jeta alors dans le vide-ordures. Me rendant alors compte que de toute façon, au mieux, j’allais pouvoir rentrer chez moi avec juste un short, je me concentrai alors à fond pour la dernière manche, pour ne pas perdre également ce dernier vêtement. Amandine envoya à nouveau le ballon à Typhaine, qui le transmit à Floriane, qui se chargea de me l’envoyer. Je réussis à nouveau à l’attraper, mais le ballon m’explosa dans les mains en heurtant un coin de mes menottes. Les filles explosèrent donc de rire en voyant ma tête déconfite, et Floriane prit à son tour les ciseaux pour réduire mon short en lambeaux, qui finirent au même endroit que les morceaux de tissu précédents. Un rapide examen de la situation me fit réaliser que je rentrerais de toutes façons chez moi à poil… Mais si seulement je pouvais au moins marcher normalement ou bien me cacher les parties intimes avec mes mains. Floriane me demanda alors si je voulais continuer à jouer ou bien partir. Voyant bien le jeu des filles et ayant peur de la suite, je choisis de ne pas continuer. Les filles se levèrent donc pour me dire au revoir, et j’en profitai pour demander à Floriane de bien vouloir me libérer, car c’est déjà bien assez humiliant de se retrouver à poil dans la rue, pas besoin d’être menotté en plus. Elle me répondit alors qu’elle allait me faire une fleur et me proposer un deal : on allait de nouveau faire un jeu en 4 manches, et à chacune d’entre elles, je pourrais gagner une clé. Je me dépêchais d’accepter et elle m’annonça que bien sûr, si je perdais, la clé en question serait définitivement perdue. Sur le coup, je ne prêtai pas attention aux mots employés, et je fis tout pour me motiver à gagner les clés. Floriane annonça alors le 5ème et dernier jeu… Ou plutôt les derniers jeux car chaque manche serait un jeu différent. Elle sortit tout d’abord un tapis et un trou de mini-golf, avec la balle et le club allant avec. En voyant cela, je repris mon air déconfit, en me disant que je n’avais à nouveau aucune chance. Elle annonça également qu’on allait jouer pour les clés des cadenas de la chaîne. Cela me rassura quelque peu car de toute façon, si j’arrive à récupérer celles des menottes, la chaîne ne me gênera plus. Je me concentrai malgré tout pour gagner ce peu de liberté de mouvement. Amandine commença à jouer et mit la balle dans le trou en 2 coups, Typhaine fut un peu plus maladroite et utilisa 3 coups, ce qui me rassura un petit peu. Quant à Floriane, habituée, elle réussit du premier coup. Ce fut alors mon tour, et il fallait absolument que je réussisse à battre Typhaine. J’essayai donc tant bien que mal de tenir et d’orienter le club dans mon dos, et frappai une première fois dans la balle, qui ne prit pas du tout la bonne direction. Grâce au deuxième coup, je réussis à mieux m’orienter et à approcher la balle du trou. Ne restait plus qu’à finir pour faire aussi bien que Typhaine et gagner la clé. Malheureusement, le coup de poignet que je mis pour putter ce 3ème coup - eh oui, impossible de faire le mouvement avec les bras ou les épaules - fut bien trop fort et la balle passa au-dessus du trou pour finir bien plus loin. Il me fallut donc accepter cette première défaite, et Floriane prit la clé des cadenas de la chaîne pour la mettre dans un petit sac en plastique. Pour la deuxième manche, Floriane nous annonça alors avoir prévu une partie de billard. Chacun pouvait jouer 3 coups et essayer de rentrer le plus de boules possible. L’enjeu était cette fois la clé de la cage de chasteté. Encore une fois, je voyais mal comment j’allais pouvoir gagner dans ma situation, en me disant que c’était un moindre mal avec la cage de chasteté, car être vu avec la ceinture de chasteté qui cache en partie mon sexe ou bien entièrement nu, ça ne change pas grand-chose. Mais à ce moment-là, je réagis enfin : où allait-on jouer au billard. Sûrement pas dans le studio à Floriane. Je posai alors la question, et mon hôte m’indiqua qu’on allait se rendre dans la salle de jeu commune de la résidence, que de toute façon il n’y avait personne, surtout en août. Je n’étais pas très chaud pour sortir dans cette situation mais si je refusais, je devrais sortir également et pour rentrer jusque chez moi donc après tout. En plus Floriane avait raison, j’avais pu constater lors du 1er jeu que la résidence était quasiment déserte. On sortit donc de l’appartement pour se rendre dans la salle de jeu. Effectivement, on ne croisa personne dans les couloirs et la salle de jeu était vide. Floriane prépara alors le billard, et la partie commença. Typhaine commença par rentrer 4 boules - quelle chance sur le dégommage du 1er coup sur lequel 2 boules sont rentrées directement -, Amandine en rentra 3 grâce à un très joli dernier coup, et Floriane réussit à en mettre 2. Je me dis alors que c’était possible de faire aussi bien que Floriane et de gagner cette clé. C’est alors qu’on entendit 2 voix dans le couloir. Plus elles étaient fortes, plus la tension montait en moi, et donc plus mon sexe me faisait mal également, jusqu’au moment où la porte de la salle de jeu s’ouvrit sur 2 jolies demoiselles qui, le premier mouvement de surprise passé, ne purent s’empêcher d’éclater de rire en me voyant. Elles dirent alors bonjour aux filles, puis demandèrent si elles pouvaient prendre des photos et assister à la partie. Floriane accepta bien volontiers, et 5 filles assistèrent donc au désastre que fut cette partie, car il m’était quasiment impossible d’atteindre la boule blanche et donc de lui donner une puissance minimale. Suite à cette défaite, Floriane prit donc la clé de la cage de chasteté, et la mit dans le petit sac. Elle indiqua ensuite qu’on allait profiter d’être là pour jouer la troisième manche au baby-foot. Il me suffisait de battre l’une des 3 filles - le premier qui marque un but gagne - pour récupérer la clé des menottes des chevilles. Je me remotivai alors un bon coup car il me serait bien plus aisé de marcher, de courir, de me cacher,… sans ces menottes. Bien entendu, les 2 nouvelles venues décidèrent de ne pas rater le spectacle d’un mec à poil et menotté qui joue au baby-foot avec 3 filles tout habillées. Je me mis donc en position pour essayer de jouer, avec toute la difficulté liée au fait que tout se passait dans mon dos. Malgré toute ma bonne volonté, il me fut impossible d’empêcher les filles de marquer avant moi - c’était quasiment impossible de mettre de la force dans la balle, et donc très difficile de marquer -, et je fus donc à nouveau déclaré perdant. Floriane prit donc la clé des menottes des chevilles et la mit avec les précédentes. Il ne restait donc plus qu’une dernière manche, mais c’était la plus importante, car elle pouvait me permettre de remporter la clé des menottes des poignets, ce qui me permettrait de cacher mon sexe et donc une partie de ma nudité lors de mon retour chez moi. On remonta alors dans l’appartement à Floriane, et les 2 dernières venues nous accompagnèrent. En arrivant, notre hôte me demanda alors combien il y avait selon moi de personnes présentes dans la résidence. Suite au premier jeu, je répondis que je dirais à peu près une quinzaine, en dehors des filles présentes dans l’appartement. J’essayai de me faire la meilleure idée possible, me disant qu’il s’agissait peut-être de trouver à peu près le bon nombre de personnes pour gagner la clé. Floriane me demanda alors combien je pensais qu’il y avait de filles. Là encore, je fis appel à ma mémoire pour essayer de me souvenir, et je répondis qu’il devait y en avoir une dizaine en dehors de celles qui étaient dans l’appartement avec moi. Floriane m’indiqua alors que je n’aurais rien à faire pour la dernière manche, et que ce serait les 2 nouvelles venues qui auraient mon destin entre leurs mains. Elles avaient alors 5 minutes pour chercher dans la résidence au moins 20 filles - Floriane me dit que comme ça mon estimation était vraiment très mauvaise si elles réussissaient - en dehors des filles présentes dans l’appartement à ce moment-là et de les faire venir dans l’appartement. Si elles échouaient, je récupérais la clé, si elles réussissaient, je la perdais. Autant dire que les 5 minutes qui suivirent furent on ne peut plus stressantes, même si je pensais réellement que j’allais probablement gagner. Au bout des 5 minutes, les 2 chercheuses frappèrent à la porte, et Floriane me demanda de me mettre à côté de l’entrée pour compter. Elle ouvrit et les rires et acclamations que j’entendis firent fortement monter le doute en moi. Les filles entrèrent alors une par une, me détaillant et rigolant au passage, parfois prenant aussi des photos. Pendant ce temps, de mon côté, je ne faisais même pas attention à ça, me concentrant sur le comptage. 1, 2, 3,…, 10,…, 15… Je m’étais déjà bien trompé dans mon estimation, mais bon, ce n’était pas encore perdu, car je ne voyais plus beaucoup de monde dans le couloir. Les suivantes entrèrent : 16, 17, 18, 19… La tension monta encore d’un cran, mais heureusement je ne voyais plus personne dans le couloir. Floriane me demanda alors combien j’en avais compté, et quand je répondis avec le plus grand sourire qu’il n’y en avait que 19 et que j’avais gagné, j’entendis un bruyant « Surprise » dans le couloir, et je vis alors au moins une dizaine d’autres filles entrer. Floriane me répondit alors que malheureusement j’avais perdu, et que ça avait été très drôle de voir mon sourire réjoui et triomphant se transformer en mine de désespoir en un instant. Le pire moment de la soirée était alors arrivé, car non seulement je me rendis compte que je n’avais rien gagné et que j’allais devoir rentrer chez moi ainsi, mais en plus je me rendis enfin compte que j’étais là, dans cet appartement, entièrement nu, menotté et avec une cage de chasteté, devant plus de 30 filles en train de me regarder, de se moquer et de prendre des photos. Floriane calma tout le monde, puis rappela que comme j’avais perdu, la clé des menottes des poignets était aussi définitivement perdue, et que j’allais pouvoir rentrer chez moi et rester ainsi. Elle prit alors cette dernière clé et la mit dans le petit sac avec les autres, puis elle le ferma avec une ficelle. C’est seulement à ce moment-là que le mot « définitivement » arriva dans mon cerveau, et je demandai donc à Floriane ce que cela signifiait, et si elle viendrait bien le lendemain pour me libérer comme prévu. Pour toute réponse, elle me demanda de la suivre, et m’emmena jusqu’au petit coin. Elle me dit alors qu’elle avait bien précisé que les clés seraient définitivement perdues dans les enjeux, et que par conséquent elle ne viendrait pas demain, pas plus que les jours suivants d’ailleurs, pour me libérer. En terminant le phrase, et sans que j’aie pu dire quoi que ce soit, elle jeta alors le sac en plastique dans la cuvette des toilettes, et tira la chasse d’eau. Sous le choc, je criais « Non » plus par réflexe qu’autre chose, mais en m’approchant de la cuvette, je dus bien m’apercevoir que les clés étaient bien parties et dorénavant inaccessibles. Floriane me remercia alors en me disant qu’elles s’étaient bien amusées, ce que confirmèrent en chœur toutes les filles présentes, qu’elles avaient de belles photos et vidéos de moi pour se rappeler et partager cette soirée entre copines, et que je pouvais dorénavant rentrer chez moi. J’avais les jambes en coton, mille questions trottaient dans ma tête, et j’osai en poser une à mon hôte du soir : comment allais-je pouvoir me libérer sans les clés, et ce d’autant plus qu’avec les menottes il m’était absolument impossible d’enfiler un quelconque vêtement. Elle me répondit que je n’avais qu’à me débrouiller et passer le reste de ma vie à poil et menotté, que j’avais joué et que j’avais perdu, et que je n’avais donc plus qu’à assumer. Elle m’escorta alors jusqu’à la porte de son appartement, me poussa à l’extérieur, et ferma la porte derrière moi. Analysant alors la situation, je me rendis à l’évidence que je n’avais plus qu’à rentrer ainsi chez moi. Tout le long du chemin, je fis tous les efforts possibles pour me cacher des quelques passants et automobilistes que je croisai et qui, au choix, étaient outrés, rigolaient, se moquaient, filmaient ou prenaient des photos. Mais tout cela était rendu très compliqué par les liens qui entravaient nettement ma liberté de mouvement. Enfin de retour chez moi après de longues minutes de marche, je m’allongeais tant bien que mal sans réellement réussir à dormir tant je pensais aux conséquences de cette soirée. Qu’allaient devenir les photos et vidéos ? Toutes ces filles allaient-elles les garder pour elles ou bien les diffuser sur Internet ? Est-ce qu’elles n’allaient pas me faire du chantage pour me mettre dans d’autres situations plus ridicules ou embarrassantes encore ? Et surtout, comment faire pour me débarrasser de tous ces liens ? Pour cette dernière question, une seule réponse était possible, et elle était évidente, mais il m’était très difficile de l’envisager. Je décidai donc d’attendre le lendemain matin pour la mettre en pratique, et je m’endormis sous la fatigue causée par tant d’émotions. Le lendemain matin, le réveil fut compliqué et les questions revinrent au galop. Je repensai à la dernière, et je fis le point : je ne pouvais pas enlever mes liens moi-même, je ne pouvais pas passer le moindre vêtement et donc je ne pouvais pas sortir de chez moi, il n’y avait donc bien qu’une seule solution : appeler un serrurier pour qu’il vienne ouvrir les cadenas. J’allumai donc mon ordinateur pour trouver le numéro de téléphone d’un serrurier, et je lançai ma boîte mail par habitude. Je constatai alors que les échanges de mes photos et vidéos avaient déjà bien commencé et que beaucoup plus de personnes m’avaient déjà vu dans cette situation humiliante. Un mail attira mon attention, il venait de la part de Floriane. Elle me demandait si j’avais appelé un serrurier, et si oui, quand il venait, car elle voulait venir filmer la scène. Elle me proposait même d’en appeler un à ma place si je voulais et que je ne l’avais pas encore fait. Sur le coup, j’étais choqué et je comptais bien ignorer son message, mais il y en avait un second. Dans celui-ci, elle mettait un lien vers un album multimédia, en m’indiquant de cliquer dessus. Après hésitation, je le fis et je découvris des centaines de photos et vidéos de la soirée de la veille. Je fermai rapidement et je lus la fin du mail : pour l’instant, cet album était privé, mais si je ne la laissais pas venir filmer la scène avec le serrurier, elle mettait tout cet album en ligne sur Internet, avec mon nom, mon adresse mail, mon Facebook,… J’étais bouche bée, et j’avais du coup réponse à une de mes questions : voilà le chantage qui commençait. Ne sachant que faire, je finis par accepter, je lui donnai mon adresse pour le rendez-vous et je lui demandai même de prendre le rendez-vous pour moi car j’étais trop gêné d’expliquer la situation au serrurier. Une heure plus tard, je recevais un nouveau mail m’indiquant que le serrurier passerait vers 14h00 le jour même, et qu’elle serait présente un peu avant pour ne rien rater. A 13h45, la sonnette retentit et j’ouvris la porte à Floriane. Elle ne put s’empêcher de rire en me voyant, me fit la bise et entra. Elle me dit que le serrurier n’allait pas tarder, et me demanda où je comptais me mettre pour qu’elle puisse se mettre en place. Ayant eu sa réponse, elle sortit sa caméra et s’installa. Un peu avant 14h00, alors que la tension montait sérieusement et que, pour une raison inconnue, l’excitation aussi, faisant très mal à mon sexe, la sonnette retentit à nouveau. Je demandai à Floriane d’ouvrir mais elle refusa, et je me résignai donc à aller ouvrir. Après avoir demandé s’il s’agissait bien du serrurier, j’ouvris la porte et je restai bouche bée en voyant entrer cette superbe brune d’une bonne vingtaine d’années. Je ne m’attendais pas à ça, étant persuadé que les serruriers étaient tous des hommes, baraqués de préférence. Mais visiblement, Floriane avait dû bien chercher pour trouver une fille, et surtout elle n’avait pas dû lui expliquer la situation, car la serrurière semblait aussi surprise que moi. Peinant à retenir des éclats de rire, celle-ci me demanda alors où était le cadenas pour lequel nous l’avions appelée, et je répondis alors honteusement qu’il y en avait plusieurs, en lui montrant comme je pouvais les différents emplacements. Essayant de retrouver son sérieux, la serrurière me demanda malgré tout si j’étais bien sérieux et si je n’avais vraiment plus les clés. Je jetai rapidement un œil en direction de Floriane, qui ne manquait pas une miette avec sa caméra. C’est à ce moment que la serrurière aperçut Floriane, qui lui demanda si elle pouvait filmer l’intervention. Elle répondit par l’affirmative, à condition de pouvoir récupérer une copie de la vidéo. Elle me demanda alors de me tourner pour commencer par détacher la chaîne. Après quelques minutes de bruits d’outils dans mon dos, je sentis une nouvelle liberté dans mes mouvements, ce qui me fit comprendre que le premier cadenas était enlevé. Elle s’agenouilla alors derrière moi pour s’occuper des menottes des chevilles. Vu nos positions, elle devait avoir une vue magnifique sur mon postérieur, et je faisais tout pour essayer de ne pas y penser, car mon sexe me faisait déjà extrêmement mal dans son petit écrin de plastique. Après là encore quelques minutes de travail, je fus enfin libéré et je pus écarter un peu mes jambes. Elle se mit alors à genoux face à moi pour attaquer la serrure qui me stressait le plus : celle de la cage de chasteté. Mais alors qu’elle allait commencer, elle s’arrêta en remarquant que mon sexe était vraiment très à l’étroit et que je devais être très excité par la situation. Elle me dit alors que si je voulais qu’elle termine le travail, il fallait d’abord qu’elle puisse profiter un peu de la situation. Elle me demanda donc de me mettre à quatre pattes et d’écarter un peu les jambes. Je ne savais pas si je devais accepter et je me tournai mécaniquement vers Floriane. Je la vis tout d’abord choquée puis ensuite très amusée. Son regard vicieux m’excita encore plus. En même temps, si elle ne finissait pas le travail, il faudrait que je fasse venir un autre serrurier devant lequel il faudrait que je me montre dans cette situation ridicule. Donc autant continuer et faire ce qu’elle me demandait. Je me mis donc à quatre pattes. Elle se plaça derrière moi et sortit quelque chose de son sac. Après quelques secondes d’attente, je sentis quelque chose de froid entrer dans ma raie des fesses et arriver contre mon anus. Des petits mouvements lents firent entrer cet objet progressivement dans mon anus, et je me rendis alors compte, à partir des mouvements que je sentais derrière moi, qu’il devait s’agir d’un gode-ceinture. Je ne savais plus trop comment réagir, à la fois honteux mais en même temps très excité par les va-et-vient délicats. Je décidai donc de me laisser faire, mon sexe me faisant de plus en plus mal en cherchant vainement à sortir de sa prison. Après quelques minutes de cet agréable châtiment, je sentis le gode se retirer et la serrurière se relever. Elle me contourna et s’agenouilla devant moi, présentant alors le gode-ceinture devant ma bouche. Elle me dit alors d’ouvrir la bouche et de lécher et sucer, car elle n’aime pas ranger ses accessoires s’ils sont sales. Et effectivement, elle avait raison, l’objet qui se présentait devant moi était sale : il portait très nettement les traces de son activité précédente. Je refusai donc dans un premier temps de laisser entrer le gode dans ma bouche, mais elle me rappela que si je voulais qu’elle finisse de me libérer, il fallait que j’exécute ce qu’elle me demandait. J’ouvris donc la bouche et laissai donc le gode-ceinture y pénétrer. Le premier contact avec ma langue fut écœurant, le goût du passage dans mon anus me faisant avoir un haut-le-cœur. Mais n’ayant pas trop le choix, je m’appliquai pour nettoyer au plus vite son « outil » et en finir avec cette situation. Au bout de quelques secondes, je me surpris même à avoir à nouveau mal au sexe, preuve que cette activité m’excitait elle aussi. Après quelques minutes, la serrurière sortit le gode-ceinture de ma bouche et, constatant qu’il était propre, me fit me relever. A genoux devant moi, elle se retrouva alors nez-à-nez avec mon sexe. Elle commença alors son travail pour me libérer, et parvint à ouvrir le cadenas après quelques nouvelles minutes. Malheureusement, mon sexe ayant tellement gonflé suite à la fellation sur le gode-ceinture et aux manipulations de mon sexe qui ont été nécessaires pour ouvrir le cadenas, il ne voulait pas sortir de sa cage. Je suggérai donc à la serrurière de la laisser en place, et que je l’enlèverais au calme après son départ. Ma suggestion ne fut pas du goût de la jeune femme, qui tira alors d’un coup sec sur la cage, faisant sortir douloureusement mon sexe raide comme rarement, juste devant ses yeux. Le spectacle devait lui plaire, au vu de son regard affamé. De mon côté, je n’en pouvais plus et je n’espérais qu’une seule chose, quelle engouffre mon sexe dans sa bouche et me libère de toute la pression accumulée. Mais elle n’en fit rien et me demanda de me tourner. Elle entreprit donc de libérer mes mains, puis rangea ses outils. Floriane la rejoint alors, et elles se mirent à discuter de moi, de mon corps, de ce qui s’était passé quelques minutes auparavant et de ce qui s’était passé la veille. Mon excitation ne descendait pas sous leurs regards coquins. Après quelques minutes encore comme cela, Floriane tendit une clé USB à la serrurière en lui précisant qu’elle venait de copier la vidéo dessus, ainsi que toutes les photos et vidéos de la soirée de la veille. Elle lui dit également de ne pas hésiter à profiter de la valeur de ces documents. Les deux jeunes filles prirent congé et me laissèrent là, immobile, ne sachant plus que faire ni penser, avec mon sexe raide à m’en faire mal, même sans sa cage. Et voilà le retour des questions dans mon esprit. Floriane va-t-elle réellement garder les photos et vidéos en privé ? Va-t-elle s’en resservir pour un nouveau chantage plus tard ? Va-t-elle également diffuser la vidéo du jour ? Et notre serrurière, que va-t-elle faire avec ces images ? Va-t-elle les garder pour elle ou les diffuser ? Et va-t-elle également suivre les conseils de Floriane et s’en servir pour me faire chanter ?
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L'ascenseur

Le 11/07/2025

Une demoiselle rencontrée sur Internet, un défi idiot que j’ai accepté de relever, un échec, et me voilà obligé de la laisser faire de moi ce qu’elle veut pendant 2 heures, ici dans sa chambre de la résidence étudiante où elle vit. Rapidement, elle m’enlève mon tee-shirt et m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes. On frappe à la porte et deux de ses copines viennent la rejoindre. La situation est quelque peu gênante, mais cela ne fait que commencer. Les filles s’empressent en effet d’enlever le reste de mes vêtements, me bandent efficacement les yeux avec un bandeau, et me baillonnent avec une de mes chaussettes. Puis elles me guident alors en me poussant à avancer. Une porte s’ouvre, et je me demande où on m’emmène, car à part la salle de bains, l’appartement ne comprend pas d’autres pièces. Après quelques pas, je comprends vite que ce n’est pas la salle de bains (à moins qu’elle soit immense), et que je suis dans le couloir de la résidence. J’essaye alors de me débattre et de ne plus avancer, mais dans le noir, à un contre trois, et avec mes bras dans le dos pour me faire souffrir dès que je me débats un peu trop, la partie est inégale, et je n’ai d’autre choix que d’avancer, lentement mais sûrement. Quand enfin on s’arrête, je n’attends que quelques secondes avant d’entendre une porte d’ascenseur. Ma première pensée est d’imaginer qui peut bien en sortir, mais l’absence de bruit et le fait qu’on me fasse avancer à nouveau me laisse penser que l’ascenseur était vide. Mais ce qui se prépare est peut-être encore pire, puisque visiblement on veut m’emmener dans une autre chambre ou bien même dehors. Mais alors que je suis maintenant dans l’ascenseur, la porte ne se referme pas. J’imagine qu’une des filles maintient donc la porte ouverte. Pendant ce temps, une seconde fille me sert fortement les bras l’un contre l’autre dans mon dos, à tel point qu’elle me fait mal, et je sens une menotte s’ouvrir. J’aimerais en profiter pour m’échapper, mais mes bras me font tellement mal que je n’ai pas la force de les écarter pour me débattre. Une main féminine se saisit alors de ma main qui n’est plus menottée, qui touche au passage une paroi métallique, qui doit être une des parois de l’ascenseur, pour lui refermer la menotte après l’avoir déplacée de quelques centimètres. On me relâche alors, mais en essayant de me mettre dans une posture un peu plus agréable, je me rends compte que je suis maintenant attaché à une rampe située dans l’ascenseur (une main de chaque côté). J’entends alors les filles me dire « A tout à l’heure » dans un fou rire, puis la porte de l’ascenseur se refermer et l’ascenseur monter. Est-ce que ce sont elles qui se sont amusées, est-ce que c’est quelqu’un d’autre qui l’appelé et qui va monter ? Je n’en sais rien, mais la honte est à son comble au moment où les portes s’ouvrent à nouveau. Quand elles se referment et que l’ascenseur reste sur place, je me rends compte que personne n’est monté, et que ce sont les filles qui l’avaient envoyé plus haut. Mais de toute façon le problème n’est que repoussé, car j’ignore pour combien de temps je suis là, mais j’imagine bien qu’on en va pas me libérer dans 30 secondes. Une minute plus tard, l’ascenseur redescend, mais plus longtemps que pour la montée précédente, et ma honte monte encore d’un cran, surtout quand j’entends plusieurs voix, féminines et masculines, alors que l’ascenseur ralentit. Quand les portes s’ouvrent, les rires et remarques désobligeantes n’arrangent pas les choses, et je suis d’autant plus frustré que je ne peux pas voir les personnes qui sont en train de me voir nu. L’ascenseur remonte alors, tandis que les discussions et remarques se poursuivent, jusqu’à un nouvel arrêt où il se vide. Pendant près de 2 heures s’enchaînent alors montées et descentes, avec la même honte et la même angoisse à chaque fois, allers et retours à vide ou en charge, avec des filles et des mecs qui ne lésinent pas sur les remarques et moqueries, et n’hésitent pas à prendre des photos ou parfois même me toucher. Au bout d’une énième montée, j’entends des voix connues me demander si je me suis bien amusé. Je comprends alors que c’est terminé, et en effet les filles m’enlèvent mon bandeau et mon baillon, puis pendant que l’une me tient à nouveau fermement les bras, une autre m’enlève les menottes, pour me les refermer aussitôt la rampe évitée. En tirant mes bras tendus vers le haut, les filles me forcent à me pencher en avant, et je sens ce que je devine vite être un tampon pénétrer profondément dans mon anus. Avant de m’abandonner là, la fille que j’avais rencontrée sur Internet me dit : « Tes fringues sont dans ta voiture, les clés de ta voiture et des menottes sont dans ma boîte aux lettres, et les clés de ma boîte aux lettres sont attachées à la ficelle qui dépasse de ton cul. Bonne soirée. » Avant que j’ai pu dire ouf, les portes de l’ascenseur se referment et il monte à nouveau. Heureusement, encore une fois personne ne monte, et j’appuie tant bien que mal sur le bouton du rez-de-chaussée. Je profite alors de la descente pour essayer, avec beaucoup de difficultés dues aux menottes, de retirer le tampon de mon anus en tirant sur la clé. Après une sortie douloureuse, j’arrive enfin au rez-de-chaussée, et j’ai la mauvaise surprise de croiser un groupe d’étudiant(e)s qui, avant de monter dans l’ascenseur, en profite pour se moquer encore une fois de moi, nu, les mains attachées dans le dos, sortant de l’ascenseur avec un tampon bruni à la main. J’essaye de ne pas m’attarder sur les téléphones qui me prennent en photo, et rejoins les boîtes à lettres. Malheureusement, j’ignore le nom de la demoiselle chez qui je m’étais rendu (elle m’attendais devant la résidence à mon arrivée, et son nom ne figurait pas sur sa sonnette), et je suis donc obligé d’essayer la clé dans toutes les boîtes jusqu’à trouver la bonne. De dos, avec les mains liées, ce n’est pas évident, et ce n’est qu’au bout d’une trentaine de serrures que j’ai enfin trouvé la bonne, après avoir encore croisé quelques groupes d’étudiant(e)s hilares. J’attrape tant bien que mal les clés qui se trouvent dans la boîte, et me détache rapidement mes bras endoloris. Je laisse tout sur place et pars nu sur le parking pour rejoindre ma voiture dans laquelle je retrouve mes vêtements.
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1 kilomètre à pieds

Le 10/07/2025

L'idée est de me faire déposer à une certaine distance en voiture (trajet dans le coffre ou les yeux bandés pour que je ne puisse pas savoir où on me dépose) et de devoir rentrer à pieds. Ma tenue et la distance seraient choisies en fonction de mes victoires et/ou défaites à un jeu à déterminer. Après avoir lu cet article sur mon blog, une jeune fille, Marion, me contacte car elle veut bien jouer. Je lui demande alors ce qu'elle souhaite comme jeu pour décider de la distance et de ma tenue, et elle me propose donc une partie de ping-pong. J'accepte, sachant que je me débrouille plutôt pas mal et que ça devrait donc limiter les risques. Nous nous retrouvons donc le lendemain près d'une table de ping-pong extérieure située dans un parc. Avant de commencer à jouer, il faut clarifier les règles. Il est décidé que chaque partie se jouera en un set de 11 points. A chaque partie qu'elle gagnera, Marion pourra choisir de me faire porter une tenue plus "méchante" ou d'augmenter la distance. Pour la distance de départ, nous serons sur 1 km, et on rajoutera 1 km à chaque fois que Marion choisira d'augmenter la distance, dans la limite de 6 kms au maximum. Concernant les tenues, je propose à Marion de choisir 5 tenues possible, de la plus gentille à la plus sévère. Par défaut, je devrai faire le trajet dans la tenue que je porte, et ça se compliquera à chaque fois que Marion gagnera et choisira de passer à la tenue suivante. Pour commencer, Marion choisit donc de me laisser ma tenue normale, mais en remplaçant mes chaussures par des chaussures à talons hauts. La tenue suivante sera une robe, des sous-vêtements féminins sexys et toujours les talons hauts. La troisième sera cette même robe et toujours les talons, mais sans aucun sous-vêtement en-dessous. Pour la quatrième tenue, je porterais simplement les sous-vêtements féminins sexys (string, bustier, porte-jarretelles et bas) et les chaussures à talons. Enfin, la cinquième tenue sera... uniquement les chaussures à talons et rien d'autre. Pensant sincèrement ne pas en arriver là et voulant avoir du piment dans le jeu, j'accepte ce choix de tenue. En tout, il y aura donc 10 parties, avec la possibilité d'augmenter la distance 5 fois et d'augmenter la "méchanceté" de la tenue 5 fois. Si je devais perdre les 10, je me retrouverais donc à devoir faire 6 kilomètres à poil avec des chaussures à talons... Mais bon je n'y pense pas trop, on n'en arrivera pas là... Avant de commencer, Marion me demande si on peut ajouter une onzième partie, de manière à ce que si elle l'emporte, elle puisse m'attacher les mains dans le dos pour le trajet. Trouvant cette proposition plutôt marrante, j'accepte et nous décidons de commencer par cette partie justement. Nous commençons donc, et je me rends compte que le choix du ping-pong n'était pas anodin, puisque Marion se débrouille très bien également, et que les rencontres risquent d'être plus disputées que je le pensais. Et en effet, sur cette première partie, je dois m'incliner, et je sais donc déjà que je devrai faire mon trajet à pieds avec les mains attachées dans le dos. Nous pouvons donc maintenant passer aux 10 parties pour déterminer la distance et ma tenue, et je sais déjà qu'il va falloir que je me batte pour que le résultat ne soit pas trop dur pour moi. Nous démarrons alors la première partie, et je passe complètement à côté de cette manche, largement perdue 11 à 2. Je demande alors à Marion si elle choisit d'allonger la distance ou de changer ma tenue, et elle m'indique qu'elle veut changer ma tenue pour que je souffre à marcher avec les talons aux pieds. Je m'imagine déjà la situation, et j'espère alors que je vais réussir à limiter la distance, car déjà un kilomètre avec des talons, ça risque d'être compliqué, mais alors si ça devait être 6... Malheureusement, les parties suivantes, bien que plus serrées, s'enchaînent sur le même résultat : une victoire de Marion... 11-8, 11-9, 11-7, 11-9 et 12-10. A chque fois, Marion choisit d'allonger la distance en rigolant à l'idée de me voir faire plus de kilomètres avec des talons hauts. De mon côté, non seulement je commence à redouter sérieusement de faire 6 kilomètres en talons, mais surtout je m'inquiète fortement car je n'ai pas encore gagné une seule partie, et il ne m'en reste plus que 4 pour sauver les meubles et devoir faire le trajet dans une tenue décente... La septième manche commence alors, et je m'accroche pour arriver à égalité à 10 partout. J'ai même une balle pour l'emporter à 11-10, mais je finis par craquer et m'incliner 13-11. Plus le choix, Marion indique donc qu'on passe à la tenue numéro 2, à savoir la robe avec sous-vêtements. Cette perspective ne m'enchante pas, loin de là, mais je suis davantage préoccupé par le fait que ça ne soit pas pire. Débute alors la huitième manche, mais à nouveau, je ne parviens pas à prendre le dessus et je dois m'incliner 11 à 8. Marion m'annonce alors que je n'aurai donc pas de sous-vêtements sous ma robe... Devant son air jubilatoire, je suis à la fois penaud mais également plus que jamais motivé pour remporter les deux dernières manches, et je le lui fais comprendre. Elle me lance alors un sourire narquois et se remet en place à la table. Neuvième manche. Il faut absolument que j'arrive à inverser la tendance. Je me reconcentre, et cela démarre plutôt bien, puisque je mène rapidement 5-0, puis 8-4. Marion profite de quelques erreurs pour recoller à 10-8, mais j'ai alors 2 balles pour gagner cette manche. Malheureusement, avec 2 joils coups, Marion revient au score et prend même l'avantage 11-10. Je réussis alors à égaliser, et cela continue ainsi jusqu'à 16-16. Marion reprend à nouveau l'avantage et je rate mon service au plus mauvais moment, donnant la victoire à Marion 18-16. Marion annonce alors fièrement que je vais être sexy sur le bord de la route en sous-vêtements, et que les automobilistes risquent d'être bien surpris de pouvoir profiter de la vue sur mon postérieur... Je commence sérieusement à paniquer, même si je me dis qu'avec mes mains attachées dans mon dos, je cacherai mes fesses. Mais je panique surtout à l'idée de cette dernière manche qui pourrait avoir une conséquente bien plus embêtante encore. Dixième et dernière manche. Je dois absolument la gagner, je dois absolument la gagner, je dois absolument la gagner... A nouveau, bien décidé à ne pas terminer à poil, je prends les devants dans cette dernière manche, pour finalement me retrouver avec un point d'avance à 10-9. Sur l'échange suivant, alors que j'ai pris l'initiative et que je crois tenir enfin ma victoire, Marion réussit un retour désespéré du bout de la raquette, retour qui touche le filet avant de mourir juste derrière, bien trop loin de moi pour que je puisse toucher la balle. 10-10. Tout est à refaire... A moi de servir. Je fais le service qu'elle aime le moins, même si elle a eu le temps de s'habituer sur les manches précédentes. A nouveau, elle est en difficulté et la balle monte, me laissant penser que je vais pouvoir conclure par un smash et reprendre les devants. Mais à nouveau, la malchance est de la partie puisque la balle vient mourir sur l'angle de la table et finit sa course à terre. Dépité par autant de malchance, me voilà donc à 1 point de devoir faire le trajet à poil... Je panique sérieusement mais rien n'est terminé. Marion se met alors au service et sert... pile sur l'angle de la table, et profite ainsi d'un troisième coup de chance consécutif pour précipiter ma dixième défaite en autant de manches... Marion sort son plus beau sourire moqueur et de mon côté je baisse la tête et n'ose pas la regarder... Je me dis alors que qu'elle ne va quand même pas faire ça... Mais je suis vite sorti de mes pensées par un : - A poil !!! - Comment ça ? Maintenant ? Tout de suite ? Ici ? Dehors ? - Ben de toutes façons tu vas devoir faire 6 kilomètres dehors à poil, donc tu peux bien te mettre en tenue ici, ça ne changera rien... Elle n'a pas tord mais je n'avais pas du tout prévu ça et le fait de me mettre à poil devant elle me met mal à l'aise autant que cela m'excite. Je m'exécute alors lentement, toujours la tête baissée, sans oser regarder Marion. Je marque une pause une fois en boxer, mais le "Allez, encore" entendu me fait vite remarquer que Marion n'apprécie pas... J'enlève alors le boxer, en prenant le soin de cacher mon sexe avec mes mains. Marion ne peut s'empêcher de rire, et s'approche alors de moi : - Les mains dans le dos !!! - Quoi ??? - Ben oui les mains dans le dos, tu as oublié que tu as aussi perdu la manche supplémentaire... Je l'avais complètement oubliée celle-là, et mon idée de pouvoir au moins me cacher les parties intimes avec mes mains tombe alors à l'eau. Je m'exécute alors, toujours plus penaud, en prenant soin de tourner le dos à Marion pour qu'elle ne voit pas mon sexe, qui se trouve dans une érection très forte. Marion remonte alors mes avant-bras dans mon dos, et les attache solidement l'un à l'autre avec plusieurs tours de gros scotch de chantier, qui m'a l'air plutôt solide. Contrairement à ce que je pensais, mes bras sont donc dans mon dos et non derrière mes fessses, et je ne pourrai donc même pas cacher mon postérieur avec mes mains... Marion fait alors le tour de moi pour me regarder de face avec fierté, et elle éclate de rire en voyant que cela m'excite au plus haut point. Elle sort son téléphone pour immortaliser la situation, puis me fait alors m'asseoir sur un banc, et sort de son sac une paire de sandales dont les talons me semblent bien haut. Certes je lui avais donné la taille de mes vêtements et ma pointure la veille, mais je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'elle ait apporté des chaussures à talons à ma pointure... Elle me passe alors les sandales et les ferme, puis me dit de me relever. Je m'exécute alors et je peine à trouver mon équilibre à cette hauteur et avec des talons aussi fins, et il faut ainsi que je m'y reprenne à 3 fois avant de tenir debout. Marion me regarde alors de la tête aux pieds, et ne peut retenir un nouveau fou rire. Après avoir repris ses esprits, elle ramasse mes vêtements, et me dis "En route". Je la suis alors difficilement jusqu'à sa voiture (heureusement il n'y a personne dehors à cette heure), et elle s'arrête à ma voiture pour y déposer mes vêtements. Cela semble anodin, mais pour moi c'est un coup de massue car cela veut vraiment dire qu'elle ne va pas emporter mes vêtements avec nous et que je n'aurai donc pas d'autre choix que de rester nu. Elle ouvre alors sa voiture, stationnée juste à côté, et met le contact. Elle me demande alors de regarder son compteur afin de lire le kilométrage, puis elle ouvre son coffre. Elle me demande alors d'y monter, ce que je fais difficilement avec ma souplesse légendaire. Une nouvelle photo plus tard, le coffre se referme, puis après quelques secondes la voiture démarre. Le trajet me paraît durer une éternité, entre les accélérations, les freinages et autres virages, qui me font me cogner ici et là... J'espère que ce n'est qu'une impression et qu'elle ne m'emmène pas bien plus loin que prévu. Au bout d'un moment, la voiture s'arrête et j'entends le bruit de la portière. Quelques instants plus tard, le coffre s'ouvre, et j'ai du mal à ouvrir les yeux à cause de la lumière après ce trajet dans le noir. Le temps de m'habituer, et Marion me demande de sortir, ce que je fais tant bien que mal après lui avoir demandé si elle était sérieuse. Un rapide coup d'oeil tout autour de moi me rassure sur le fait que nous sommes en pleine campagne et que personne ne peut me voir. Le point négatif est que je ne sais absolument pas où nous sommes, ni par quelle direction nous sommes arrivés, la voiture étant garée dans un sentier en bord de route. Même si je suis toujours aussi excité par la situation, je panique sérieusement. Je garde malgré tout toujours un dernier espoir qu'elle me fasse juste peur et qu'elle finisse par me dire de remonter dans la voiture avec elle. Elle me demande alors de venir voir le compteur, où je me rends compte qu'elle a bien respecté la règle puisqu'il indique 6 kilomètres de plus qu'au départ. Elle ressort alors de la voiture et ferme le coffre, faisant augmenter ma panique. Elle s'assied alors à nouveau à la place conducteur, me lançant un "Bonne chance" avec son sourire narquois, puis referme la portière et démarre en partant vers la gauche. Je ne peux alors que la regarder s'éloigner en espérant qu'elle s'arrête dans quelques dizaines de mètres et fasse marche arrière... Je crie presque victoire quand elle s'arrête 50 mètres plus loin, mais elle sort de la voiture, sort son téléphone et fait une photo, avant de remonter dans sa voiture et de repartir. Sa voiture finit par disparaître à l'horizon, me laissant là, penaud, dépité par la situation dans laquelle je me trouve, à 6 kilomètres de ma voiture où je dois retourner, nu, avec des talons hauts, et les mains attachées dans mon dos. Que faire ? Marcher ? Je n'ai pas trop le choix... Mais dans quelle direction ? Partir à gauche comme Marion avec sa voiture ou bien imaginer que c'est un piège pour tenter de m'éloigner encore plus et de me faire faire plus de distance et donc partir dans l'autre sens ? Et que faire s'il y a une voiture ? Sur cette route de campagne, les risques sont faibles, mais il va bien falloir à un moment donné prendre ou au moins croiser des routes plus fréquentées... Et si je dois traverser un village ou une ville ? En tous cas il faut avant tout que je me repère, et que je choisisse des routes peu fréquentées, au risque de parcourir bien plus de 6 kilomètres au final... Comment cela va-t-il finir ? Si tu es une fille pas trop loin de Rennes et que ce genre de jeu te tente (bien entendu ce n'est pas obligé d'être du ping-pong, et les tenues proposées peuvent être différentes (notamment la dernière tenue n'est pas obligée d'être "A poil", notamment parce que je pourrais, et ma "coéquipière" également, avoir des soucis avec les forces de l'ordre dans ce cas...)), n'hésite pas à me contacter à herverennais35@outlook.fr pour m'aider à mettre en place ce délire...
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