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Les fantasmes d'un rennais

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Sur ce blog vous trouverez des scénarios plus ou moins détaillés des fantasmes d'un quarantenaire rennais. Délires un peu bizarres parfois, autour de la soumission, de l'humiliation et de l'exhibition. Des rennaises pour m'aider à les mettre en œuvre ? Contactez moi je suis à votre disposition

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Les fantasmes d'un rennais

Du blog à l'humiliation (4/6)

Le 04/07/2025

Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre que, pendant toute la soirée, si une fille a besoin d'aller aux toilettes, on recommencera. On me rattache alors mains et pieds entre eux, et on me laisse le bandeau sur les yeux. Au bout de quelques instants, je sens quelque chose me chatouiller les lèvres. Deux doigts me serrent alors les narines, et j'ai à peine ouvert la bouche que cet objet s'y insère. La forme, la taille et la matière ne me laissent guère de doute sur la nature de l'objet : ce doit être un gode ceinture. On m'enlève alors mon bandeau, et ma vue confirme cette impression. Juste à cet instant je sens une vive douleur au niveau de l'anus, et je me rends compte que le même objet se trouve alors enfoncé entre mes fesses. - Suce, m'ordonne alors Marine, à qui est harnaché le gode qui est dans ma bouche. Je m'exécute alors, pendant que je sens derrière moi des mouvements de va et vient, dont la douleur initiale laisse progressivement place au plaisir. La sonnerie retentit alors, et je me demande qui vient, sachant que je suis nu et dans une position très humiliante au milieu du salon, dans lequel se trouve la porte d'entrée. Sans s'en inquiéter, Stéphanie va ouvrir. Je peux alors apercevoir un jeune homme d'une vingtaine d'années, qui ne semble pas surpris en me voyant ainsi. Surpris au début, je comprends vite qu'il a été appelé par les filles. Très vite, il baisse son pantalon, et présente son sexe à la place du gode que manipulait Marine. Refusant d'ouvrir la bouche, je subis alors le même traitement que précédemment, accompagné d'une fessée magistrale, et je finis par laisser ce sexe pénétrer dans ma bouche. On m'ordonne à nouveau de sucer, et de bien tout avaler et nettoyer à la fin. Me voilà donc en train de lécher, sucer et astiquer ce sexe inconnu, m'appliquant en espérant que ça permette de terminer plus vite. Pendant ce temps, le plaisir apporté par les va et vient entre mes fesses me fait presque oublier ce que je suis en train de faire. Jusqu'à ce que j'aperçoive à nouveau le flash d'un appareil photos. Quand enfin je sens que le jeune homme va jouir, la crainte de ce qui va arriver me fait me contracter fortement, et le resserrement de mon anus autour du gode augmente le plaisir, et je finis par jouir en même temps que lui, sans même avoir été touché, ce qui provoque à nouveau une hilarité générale et une déferlante de flashes. - Il doit bien aimer ça en fait… Je me force alors à avaler tout ce qui arrive dans ma bouche, et à méticuleusement nettoyer le sexe de ce jeune homme, même si la baisse d'excitation due à mon éjaculation a nettement augmenté l'écœurement provoqué. Pensant enfin en avoir terminé, et plus honteux que jamais, je baisse la tête dès que le sexe a quitté ma bouche. Je sens le gode quitter mon anus, mais alors que je baisse tout juste ma garde, le sexe du jeune homme me pénètre violemment. Visiblement, son sexe doit être bien plus gros que les jouets utilisés auparavant, car je ressens d'abord une douleur, qui se transforme au gré des va et vient en un plaisir intense. Je bande à nouveau très fort, ce qui a le don de faire rire les demoiselles : - Eh, mais on dirait vraiment qu'il aime ça… Cela dure encore bien 5 minutes, jusqu'à ce que le jeune homme se vide en moi pour la deuxième fois, avant de se retirer et de s'en aller. - Bon, c'est pas tout ça, mais il faudrait peut-être songer à y aller… Où ça y aller ? C'est quoi ces histoires ? On ne va quand même pas continuer la soirée à l'extérieur ? Malgré tout, je n'ose rien dire, et j'attends craintivement les ordres qui vont m'être donnés. - Rhabille-toi ma belle, me lance alors Mélanie d'un ton moqueur, tout en m'envoyant ma robe et les autres vêtements que je portais en début de soirée. Et après assieds-toi ici. Je m'exécute, et je me retrouve assis sur une chaise devant une glace, entouré de plusieurs filles qui en profitent pour me maquiller. Rouge à lèvres, far à paupières, fond de teint, vernis à ongles pour les mains et les pieds,… j'ai droit à la totale. On me mettra même deux bagues, un pendentif, et une paire de boucle d'oreilles à clipper. Pour terminer les préparatifs, on ferme mes sandales à l'aide de petits cadenas, de telle sorte que je n'ai absolument aucun moyen de m'en séparer. - C'est bon, elle est prête, on peut y aller. L'ascenseur... A bientôt pour la suite...
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Du blog à l'humiliation (3/6)

Le 04/07/2025

La crainte de ce qui va m'arriver alors fait monter en moi une bouffée de chaleur, et mon sexe est à nouveau dans une érection presque douloureuse. Marion, une jolie blonde aux yeux bleus, dont la jupe cache tout juste les fesses, s'approche alors de moi et soulève ma jupe. La vue de la bosse dans ce string juste assez grand pour accueillir mon sexe fait naître de nouveaux éclats de rire. - Eh ben ça l'excite dirait-on. - C'est bien parce que c'est quand même plus joli à voir comme ça. - Bon les filles on attaque ? - Oui dépêchons. Sans avoir le temps de dire ouf, je suis mis à terre d'un croche-pieds magistral, mes jambes et le haut de mon corps étant maintenus au sol par Marion et Stéphanie. Les prises sont efficaces, et je suis complètement immobilisé. Une belle rousse, apparemment prénommée Lisa, se charge alors de m'ôter mon tablier et ma robe, sous les applaudissements des autres invitées. On me relève alors, et je suis là, en bustier, string et porte-jarretelles, sans oublier les talons hauts, à la merci des appareils photos qui sont à nouveau de sortie, me flashant par devant et par derrière, dans l'hilarité générale. J'essaye alors de masquer mon visage avec mes mains, mais non seulement cette tentative s'avère inutile, mais en plus elle provoque l'agacement de Marion qui me projette à nouveau à terre. Je suis à nouveau immobilisé, et Stéphanie propose alors à Mélanie de venir terminer le travail, ce qu'elle s'empresse d'accepter. Mélanie est une très belle jeune fille de 18 ans, brune, sportive, mais surtout c'est aussi une bonne copine, drôle et intéressante, toujours pleine de vie et de joie… en bref, elle me plaît beaucoup. Le fait que ce soit elle qui s'approche de moi renforce encore mon sentiment de honte, mais aussi fait monter mon excitation à son comble. Mélanie se charge donc de détacher lentement mon bustier, l'enlève, puis s'occupe de mes bas et porte-jarretelles, après avoir soulagé mes pieds en ôtant mes sandales. Me voilà avec pour tout vêtement un string qui ne contient plus que très difficilement mon sexe dans une érection phénoménale. - A poil, à poil, à poil… Là, plus de doute, je vais y passer. Je suis remis debout, Marion me tenant les mains dans le dos, et les filles comptent alors ensemble jusqu'à trois. A trois, Mélanie se charge de baisser d'un coup mon string qui laisse apparaître mon sexe, dans un fou rire général, et au milieu des flashs qui se multiplient à nouveau. A ma grande crainte, c'est Aurélie qui se charge d'alimenter l'appareil de Mélanie en photos. Me voilà donc totalement nu au milieu de ces quinze filles, le sexe en l'air, et les mains maintenues dans le dos, puis bientôt attachées solidement devant moi par une paire de menottes. Elles me demandent alors si j'ai faim, et comme je n'ai rien mangé et surtout ayant peur de leur réaction si je refuse, j'acquiesce. On me demande alors de me mettre à quatre pattes, et on me passe un collier avec un anneau autour du cou. De la même manière que mes mains sont attachées entre elles, mes pieds se retrouvent aussi liés. Même à quatre pattes, mes déplacements sont ainsi difficiles. Je suis alors Stéphanie jusque dans la cuisine, et je la vois vider une boîte de pâtée pour chiens dans une gamelle qu'elle pose devant moi, en m'ordonnant de surtout bien tout manger. C'est alors un défilé de jeunes filles qui passent à tour de rôle dans la cuisine pour se moquer de moi et immortaliser en photos ce moment, où un mec nu avec un collier mange de la pâtée dans une gamelle. Bien que ce soit écœurant à souhait, je m'applique pour bien lécher la gamelle jusqu'à la dernière miette, afin d'éviter toutes représailles. Quand j'ai terminé, je reviens au salon, toujours à quatre pattes. - Tu dois avoir soif maintenant, non? Ayant très peur de ce qui m'attend, j'ose un non discret. Malheureusement, comme je pouvais m'y attendre, une main s'écrase violemment sur mes fesses nues. - Tu n'as aucun droit de répondre non à quiconque ici. Et de toute façon, tu n'as pas le choix, mes toilettes sont en panne, et je commence à avoir besoin de faire pipi. Je cherche autour de moi qui a pu dire cela, mais je me doute que ce doit être Stéphanie. C'est en effet elle qui me met une laisse et me traîne jusque dans la salle de bains, où je dois m'allonger sur le dos dans la baignoire, avant que mes mains et mes pieds ne soient attachés à des crochets présents dans les murs. De mon côté, je suis presque paniqué, mais en même temps excité en me disant que je vais voir les parties intimes de ces filles, et en particulier de Mélanie. Malheureusement on me passe rapidement un bandeau sur les yeux, puis on me bouche le nez avec une pince à linge, de telle manière que je suis obligé de conserver la bouche ouverte. D'un coup, je n'entends plus rien. Contrairement à ce que j'aurais pu penser, le fait de ne rien voir n'enlève rien à mon excitation, même si j'ai très peur de la suite des évènements. J'entends enfin la porte s'ouvrir puis se refermer, et je suis alors très surpris d'entendre une fille dire à voix basse : - Tu n'as qu'à te mettre là, comme ça tu verras tout, sans me voir moi. La honte s'empare alors un peu plus de moi, car non seulement je vais me faire pisser dessus, mais en plus devant témoin(s). Et si c'était Aurélie ou Mélanie d'ailleurs. Toujours est-il que je sens la baignoire vibrer, puis quelques secondes plus tard, je reçois un jet puissant sur le ventre. Comme je le craignais, ce jet remonte progressivement jusqu'à se déverser dans ma bouche. Le nez bouché, ma seule solution pour pouvoir à nouveau respirer est d'avaler le tout. C'est à ce moment que j'entends une nouvelle fois les bruits de déclenchement d'un appareil photos. Non, pas ça quand même… Mais bon, je ne peux rien faire, et son jet est interminable. Je veux bien croire qu'elle devait avoir besoin. Quand j'entends à nouveau la porte s'ouvrir, je me rends compte que je n'ai pas fini de boire, puisqu'une autre jeune fille prend la place. Je vais ainsi subir successivement quatorze jets plus ou moins odorants et acides, me rendant alors compte qu'Aurélie ou Mélanie étaient alors forcément passées par là. Avant que ne sorte la dernière, la voix de Mélanie demande à cette jeune fille de prendre sa place, et je comprends alors que c'était elle qui devait assister à tout et prendre les photos… La catastrophe. - A mon tour maintenant… dit-elle alors dans un éclat de rire. Je ne peux malheureusement pas voir la couleur de mon visage, mais je peux nettement imaginer que la honte procurée doit le rendre rouge vif. Mais je n'ai pas beaucoup le temps de penser à tout ça, puisque rapidement, un grand flot se déverse directement dans ma bouche. Et elle doit avoir beaucoup bu dans la journée, ou bien elle se retient depuis longtemps, car c'est de loin celle qui va déverser le plus de liquide sur moi, et le tout dans ma bouche. Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre... La suite au prochain épisode...
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Du blog à l'humiliation (2/6)

Le 04/07/2025

Je me sens toujours aussi mal à l'aise, mais je me place debout à côté de la porte, en attendant les premières arrivées. C'est alors que commence un "défilé" de jeunes filles, toutes plus jolies les unes que les autres, qui ne peuvent retenir au mieux un sourire en me voyant ainsi habillé. Je me charge ainsi de ranger les vestes d'au moins une dizaine de demoiselles, et je me demande combien vont encore arriver quand arrive la première grosse surprise et la première vraie honte de la soirée : la sonnette retentit une nouvelle fois, et j'ouvre donc la porte comme je le fais déjà depuis un moment, quand je vois sur le pallier deux visages parfaitement connus, puisque Aurélie et Mélanie font du sport dans le même club que moi. Elles ne peuvent se retenir d'éclater de rire, pendant que de mon côté j'aimerais me cacher ou me réveiller de ce cauchemar. Ayant repris leur sang froid, les filles me jettent leur veste, que je n'ai d'autre choix que de ranger avec les autres, et ferment la porte à clé derrière elle, emportant la clé dans leur poche. Mon idée de m'enfuir en vitesse devient alors pure illusion., et quand on me demande d'approcher de la table où sont disposés les verres, je le fais d'un pas hésitant, autant du fait de la honte que je viens de recevoir que de ces chaussures à talons dans lesquels je commence à avoir mal aux pieds, essayant toujours de conserver un équilibre minimum. Je n'ose alors plus lever la tête, de peur de croiser les regards d'Aurélie ou de Mélanie, quand j'entends Stéphanie annoncer : - Asseyez-vous les filles. Par contre, je n'ai pu trouver que onze chaises, donc avec les trois places dans le canapé, il va quand même manquer un siège. Je propose donc qu'on demande à notre esclave de se mettre à quatre pattes pour remplir cette fonction. Sachant que je n'ai de toutes façons pas d'autre solution, je me mets donc à quatre pattes, et les filles s'asseyent, laissant le soin à Aurélie de s'asseoir sur mon dos. La direction dans laquelle je suis installé faisant de plus que Mélanie se trouve juste dans mon champ de vision, j'ai très vite le réflexe de baisser la tête afin d'éviter son regard, dans lequel j'ai le temps d'apercevoir un mélange de fierté, de puissance et de moquerie. L'apéritif est donc servi, les filles trinquent, et c'est parti pour de longues conversations de filles. De mon côté, malgré la position désagréable, surtout dans la durée, l'excitation est toujours à son comble. J'entends alors Aurélie prononcer les mots suivants : - On m'avait bien dit dans le mail que c'était à toi le blog et qu'on allait bien s'amuser en répondant à ton annonce. Et bien là c'est clair, on va bien rigoler… toi certainement moins… Les filles éclatent de rire, et je me demande alors qui a bien pu me découvrir et me dénoncer ainsi. Malheureusement, mes réflexions sont de courte durée, puisque interrompues rapidement par un ordre de Stéphanie me demandant de débarrasser les verres et de dresser la table pour le repas. Aurélie se lève alors, et, après avoir eu bien du mal à me relever, entre mes genoux endoloris et mes talons qui me font très mal aux pieds, je m'exécute. C'est alors que j'entends les premiers bruits d'appareils photos, et que je suis mort de trouille en apercevant que Mélanie en tient un dans ses mains. Pourvu qu'elle ne les montre pas au club… Stéphanie propose alors à tout le monde de passer à table, autour de laquelle se trouvent à présent quinze chaises, ce qui me prouve que l'excuse trouvée auparavant pour que je serve de chaise était bidon. La table se trouvant sur un tapis, les filles sont invitées à se déchausser avant de s'installer, pour ne pas salir le tapis. De mon côté, je peux très bien conserver mes talons, puisqu'ils n'ont pas servi à l'extérieur et ne sont donc pas sales. Je fais donc le service, avec toujours autant de mal à ne pas tomber, et quand j'ai terminé, il m'est demandé de m'allonger sous la table et d'y rester jusqu'à la fin du repas. Me voilà donc allongé sous la table, au milieu des quinze paires de pieds, nus ou en chaussettes, qui dispensent un mélange d'odeurs à la fois écœurant et envoûtant. Je ne sais combien de temps durera le repas, puisque j'ai un peu perdu la notion du temps au milieu des discussions entre ces jeunes filles qui ne cessent de me donner des coups de pieds, de me chatouiller avec ceux-ci, ou de les approcher de mon visage. Quand enfin la fin du repas arrive, je me relève péniblement et je me charge de débarrasser la table, pendant que les filles s'installent confortablement pour discuter. A la fin de cette tâche, je reviens au salon et m'apprête à m'asseoir quand j'entends : - Non mais ça ne va pas??? Qui t'a permis de t'asseoir? Je me relève donc immédiatement et Mélanie reprend de plus belle : - Ah on va enfin pouvoir s'amuser un peu. La crainte de ce qui va m'arriver alors... La suite pour bientôt...
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Du blog à l'humiliation (1/6)

Le 03/07/2025

Voilà un récit que j'ai écrit, et qui est un exemple de scénario de mon fantasme présenté dans l'article intitulé "Une soirée à leurs ordres". C'est donc une expérience qui pourrait m'arriver, je fantasme dessus, et j'espère pouvoir la vivre, mais en même temps j'espère qu'elle ne m'arrivera pas à cause des conséquences... Bien entendu ce scénario n'est qu'un exemple, qui plus est poussé à l'extrême. Bonne lecture à tous, et à vos commentaires... Et si une rennaise veut me faire vivre une expérience dans ce style (avec un scénario à adapter à ses envies, sans forcément être aussi extrême), contactez moi. Cela fait déjà quelque temps que mon blog sur mes fantasmes existe, quand un jour je reçois un message d'une jeune demoiselle, intéressée par celui intitulé "Une soirée à leurs ordres". En effet, pour l'anniversaire d'une copine, une soirée entre filles est prévue. Me voilà alors bien excité par cette réponse, mais, méfiant, je demande un peu plus d'informations personnelles à cette jeune fille… 19 ans, étudiante en psycho, elle s'appelle Marie, est blonde aux yeux verts, 1m72 pour 55 kgs. Tout ça est bien intéressant, mais de peur d'une farce ou quelque chose comme ça, je demande l'adresse de la fête (de toutes façons il faudra bien que je l'aie pour m'y rendre), et le nom de notre hôte. Elle n'hésite pas à me les donner, ce qui me rassure clairement. Rendez-vous est donc fixé pour le samedi suivant. Le jour J, je me rends sur place, en pensant que je n'avais même pas demandé combien de convives seraient présentes. Mais bon tant pis, l'occasion est trop belle, je fonce. Arrivé devant la porte, je me mets un bandeau sur les yeux avant de sonner 3 fois, comme cela avait été convenu. J'entends la porte s'ouvrir, et une main douce se saisit de la mienne pour me faire entrer. Je suis alors conduit dans une chambre, dans laquelle on me permet d'enlever mon bandeau dès que je serai seul dans la pièce. Entendant la porte se refermer, je retire donc mon bandeau pour apercevoir sur le lit la tenue que je dois passer avant de ressortir de la pièce : une très jolie robe noire, qui me semble à ce moment-là très courte, mais aussi un bustier rouge vif en dentelle, ainsi que le string assorti, sans oublier les bas et porte-jarretelles. Ma plus grande surprise est alors de découvrir une paire de sandales noires, à talons très hauts, et qui, de par leur pointure, semblent m'être destinées. Le tout est accompagné d'un petit tablier blanc, et je suppose alors que je vais être utilisé comme soubrette et femme à tout faire. A ce moment, la tension est à son comble, et je me demande si je dois continuer ou bien m'enfuir pendant qu'il en est encore temps. Malheureusement, je réfléchis vite qu'il m'est impossible de partir puisque la soirée se déroule au quinzième étage d'un immeuble, et que la chambre ne possède qu'une seule porte. Je me dis donc que je n'ai pas le choix, et je me décide donc à me changer. Outre la sensation bizarre que représente la fermeture du bustier, dans lequel j'ai pris la peine d'insérer les faux seins qui étaient préparés, c'est surtout la sensation de la ficelle du string, qui me passe entre les fesses, qui me gêne. Mais cette gêne est de courte durée puisqu'arrive le moment d'enfiler les sandales. C'est incroyable, comment ont-elles pu connaître ma pointure ? Ou bien ont-elles simplement pris la pointure la plus commune pour un homme (je chausse du 43) ? Toujours est-il qu'elles me vont parfaitement, et que je me retrouve posé sur des talons hauts (ils doivent faire au moins 10 cm), peinant à trouver un semblant d'équilibre. Je noue alors mon tablier et me voilà fin prêt pour attaquer la soirée. Comme on me l'avait demandé, je frappe alors à la porte de la chambre, pour qu'on vienne m'ouvrir. Je vais enfin découvrir à quoi ressemble la maîtresse des lieux, et la pression monte encore d'un ton. Mon sexe a bien du mal alors à se faire une place dans le morceau de tissu qui me sert de string. La poignée de la porte descend alors, et je vois apparaître dans l'entrebâillement une jeune fille, brune, cheveux longs et lisses, yeux marrons. Elle doit mesurer environ 1m70, ou peut-être un peu plus, car j'ai du mal à me faire une idée avec ces talons qui me font voir les choses de haut. Elle retient difficilement un éclat de rire, ce que ne pourra même pas faire sa copine, une jolie brune elle aussi, qui se tient assise dans le canapé. J'entre alors dans le salon, dans lequel la table est dressée pour l'apéritif, et je suis Stéphanie jusque près de la porte d'entrée, sans avoir le temps de compter le nombre de verres, mais tout en me rendant compte qu'il risque d'y avoir du monde. Elle m'indique alors un petit cagibi contenant un porte-manteaux, dans lequel je devrai accrocher les vestes des convives, au fur et à mesure qu'elles arriveront et que je leur ouvrirai la porte. Je me sens toujours aussi mal à l'aise, mais... La suite au prochain numéro...
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Une soirée à leurs ordres

Le 03/07/2025

Et voilà le premier fantasme que je veux partager avec vous. J'aimerais servir de serviteur, objet, animal, homme à tout faire, jouet, etc. pour une soirée entre filles. Je serais là pour obéir à tous les ordres. Que ce soit pour faire le service ou la vaisselle dans la tenue de votre choix, pour faire un stop tease, pour devoir d'animal de compagnie, de tabouret ou de table, je suis votre homme. S'il y a des rennaises qui aimeraient profiter d'un mec à leur disposition pour ce qu'elles veulent pour une soirée, contactez moi.
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