Attention, ce blog propose du contenu pour adultes
 

Veuillez indiquer votre age :
 

 ans
 

blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

Les fantasmes d'un rennais

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 
  • Blogs.fr
  • Accueil
  • Sommaire
  • Diaporama
  • Livre d'or
  • Contact

BLOGS

Sur ce blog vous trouverez des scénarios plus ou moins détaillés des fantasmes d'un quarantenaire rennais. Délires un peu bizarres parfois, autour de la soumission, de l'humiliation et de l'exhibition. Des rennaises pour m'aider à les mettre en œuvre ? Contactez moi je suis à votre disposition

Blog dans la catégorie :
Adultes

 

Modules

  • Livres et Dvd
  • Informer mes amis
  • Edition - Hébergement
  • Flux RSS
 

Statistiques

 

Newsletter




Signaler un contenu illicite

 
 

Les fantasmes d'un rennais

La sieste

Le 10/07/2025

Un bel après-midi de printemps. Il fait beau et plutôt chaud, je porte un short, un boxer, un tee-shirt, des chaussettes basses et une paire de baskets. Pour profiter du soleil, je décide de faire une sieste sur un banc au bord de l'eau dans ce parc où je me promenais. Contrairement à ce que je pensais, je ne tarde pas à m'endormir. Pendant mon sommeil, trois filles d'une vingtaine d'année s'approchent de moi. Après avoir testé mon sommeil, elles sortent une paire de ciseaux pour s'amuser un peu, et commencent par découper mon tee-shirt sur toute sa longueur. Elles s'occupent alors des manches de manière à ce que rien ne puisse encore le retenir, et ouvrent le tee-shirt le long de la découpe pour laisser apparaître mon torse. Me voyant poilu, elles décident alors de s'amuser un peu plus en coupant quelques touffes de poils par ci par là, en laissant les poils coupés sur mon torse. Une fois cela fait, voyant que je ne suis toujours pas réveillé, elles décident d'aller plus loin en attaquant mon short. La paire de ciseaux attaque donc la jambe gauche en partant du bas et en remontant sur toute la longueur. Elles écartent alors les morceaux de tissu le long du découpage, laissant apparaître un morceau de mon boxer et ma cuisse. Cela n'ayant pas d'effet sur mon sommeil, elles réservent le même sort à l'autre jambe, laissant finalement apparaître mon boxer en entier. Le même sort que pour mon torse est alors réservé aux poils de mes jambes. Mais cela ne suffit pas à me réveiller, et les filles sont de plus en plus excitées par le trip et finissent par décider de tenter d'aller encore plus loin, tout en étant prêtes à se sauver en cas de réveil. En essayant de me toucher le moins possible avec les ciseaux pour éviter que leur contact me réveille, elles comment donc à découper la première jambe de mon boxer, et, une fois arrivées en haut, écartent le bout de tissu pour laisser apparaître une petite partie de mon sexe. Cela ayant à peine provoqué un petit sursaut de ma part, elles décident d'aller jusqu'au bout et commencent le découpage de l'autre jambe. Je me retrouve ainsi totalement nu, allongé sur ce banc, alors qu'elles commencent à couper les poils de mon sexe. Je pousse quelques soupirs, et le contact d'une main s'amusant un peu avec mon sexe finit de me réveiller. Je reprends alors doucement mes esprits, en voyant trois filles s'éloigner en courant. Les regards surpris ou hilares des promeneurs me font reprendre rapidement mes esprits, mais le temps que je remarque ce qui m'arrive, les filles sont déjà loin. Mais je me retrouve alors bien gêné, et en me relevant je perds entièrement mes vêtements, ainsi qu'une grande partie des poils découpés, me laissant ainsi nu au milieu de ce parc, avec des zones sans poils d'un effet des plus humiliants pour moi et des plus hilarants pour les passants et surtout les passantes, dont j'essaye de cacher mon sexe avec mes mains. Je me dépêche donc de quitter les lieux, sous les rires et moqueries, et sous les flashs des appareils photos... Le retour risque d'être particulièrement compliqué et humiliant... Les filles, si vous voulez me faire vivre une situation dans ce genre, n'hésitez pas à me contacter...
  • Commentaires textes : Écrire

 

Une journée à la plage

Le 08/07/2025

Ca fait déjà un moment que je demande à Mel de jouer avec moi sur msn et qu’elle me promet qu’on le fera une autre fois… Ce jour-là, pour la provoquer un peu et lui donner envie de jouer, je lui lance un défi. Le lendemain, on doit en effet se rendre à la plage avec une bande de copains, et je lui propose donc que le gagnant choisisse le maillot de bains et la tenue du perdant pour y aller. Comme je le pensais, elle accepte alors de suite et choisit le démineur, parce qu’elle n’aime pas les autres jeux. Je suis alors très confiant, car je ne suis plutôt pas mauvais à ce genre de jeux où la logique et la déduction ont une part importante. On décide de jouer en 5 parties gagnantes. Mais à ma grande surprise, Mel se débrouille pas mal du tout non plus, la partie est très serrée, et c’est elle qui s’impose 5 parties à 4. Elle s’empresse alors d’éteindre sa cam, un grand sourire vicieux aux lèvres, et de prendre congé en me donnant rendez-vous le lendemain matin vers 9h30 chez moi, soit une demi-heure avant l’heure de départ prévue. La nuit passe alors tranquillement, alors que je me demande lequel de mes maillots elle va bien pouvoir choisir. Le lendemain, je suis prêt quelques minutes en avance, et j’en profite donc pour étaler sur mon lit mes maillots de bains, ainsi qu’une partie de mes vêtements, afin de lui faciliter le choix. Pile à l’heure, elle arrive, accompagnée d’Aurélie. J’ouvre la porte et je suis surpris que Mel porte un sac à dos. Mais je me dis que c’est son sac pour la plage et qu’elle a préféré ne pas le laisser traîner dans la voiture. La vue de mes maillots étalés sur mon lit fait apparaître chez les filles un sourire malicieux. Mel dit alors : « Je vois que tu as tout préparé, c’est bien, mais ce n’était pas nécessaire, on a apporté tout ce dont tu as besoin ». Elle me tend alors le sac à dos, que je m’empresse d’ouvrir. Je ne comprends pas trop quand je vois sur le haut du sac un haut de bikini : « Tu as dû te tromper de sac, ou bien tu as oublié ton maillot dans celui-ci ? » Aurélie me répond de suite : « Non il n’y a pas d’erreur, tu as demandé à Mel de choisir ton maillot et tes fringues pour aujourd’hui, alors les voilà » A la fois surpris et dépité, je leur réponds : « Vous n’allez quand même pas me faire porter un bikini ? » Elles confirment alors que c’est bien ce qu’elles veulent, et me disent que de toutes façons tous les copains qui viennent avec nous sont au courant et vont bientôt arriver, et que je n’ai donc pas le choix si je suis honnête et que je respecte mes engagements. Si je ne respecte pas ma parole, non seulement je n’irai pas à la plage avec eux, mais en plus je risque de perdre plusieurs amis. Je me résigne alors à m’enfermer dans ma chambre pour enfiler le maillot et le reste des fringues, en me disant que le ridicule ne tue pas. Je m’efforce tout d’abord de mettre le haut de bikini, en y insérant les faux seins qui se trouvent à côté de lui dans le sac, puis je commence à enfiler le bas quand je me rends compte que ce n’est pas un simple bikini, mais bel et bien un bikini-string. Je finis alors de l’enfiler, et je sors en colère dans ma chambre pour engueuler les filles et leur dire qu’il est hors de question que j’aille sur la plage dans cette tenue. Malheureusement, à peine sorti, je suis assailli par 2 flashes d’appareils photos, un de face et un derrière moi. Le moment de surprise passé, je me reprends alors et continue de dire ce que j’avais à dire. Mais la réponse de Mel ne se fait pas attendre : « J’ai allumé ton ordinateur, et j’ai préparé un mail. Si tu ne finis pas de t’habiller et si tu ne viens pas, j’y insère la photo et je l’envoie à tous mes contacts, en leur demandant de faire suivre. Et imagine si je l’envoie à 20 personnes, et qu’ensuite, chacune d’elle fait de même,… Au bout de 3 mails, il y aura déjà 8000 personnes qui t’auront vu ainsi. Et je te laisse imaginer le nombre de sites sur lequel ta photo va vite apparaître. » Complètement dépité, je réalise vite qu’il vaut sans doute mieux qu’une centaine de personnes me voient en bikini-string sur la plage, que plusieurs centaines de milliers grâce au Net. Je retourne donc dans ma chambre pour finir de m’habiller, et je sors du sac un petit haut blanc en laine, fait de très grandes mailles, qui font qu’il ne cache absolument rien. Me disant que pour cela, ça aurait pu être pire, et qu’elles avaient donc peut-être été plus sympas sur le reste des fringues, après le coup du maillot. Mais je me rends vite compte que je me suis trompé quand je sors du sac une mini-jupe, vraiment très courte, en toile blanche légère. Je l’enfile à contre-cœur, et cela confirme qu’elle arrive tout juste en-dessous du bas de mes fesses. Peu fier, je sors alors rejoindre les filles. Aurélie dit alors à Mel : « Tu vois, je t’avais bien dit qu’elle serait assez transparente et qu’on verrait tout. » Ni une, ni deux, je comprends tout de suite ce qu’elle veut dire, et me regarde dans le miroir de la salle de bains, dans lequel ma crainte se confirme, puisque le tissu de la jupe laisse apparaître absolument tout ce que je porte en-dessous, malgré la couleur bleu ciel du string. Je m’apprête de nouveau à refuser, quand Mel me montre son appareil photos, pour me rappeler ce qui se passerait dans un tel cas. Je me tais donc, et c’est Aurélie qui prend la parole, en me disant que j’ai oublié quelque chose. J’ai beau réfléchir, je ne vois pas. Elle me signale alors que je suis pieds nus, et je sors alors mes sandales. Aurélie reprend alors : « Tu chausse bien du 43 c’est ça ? » Je confirme alors, et Mel m’indique que par conséquent, mes chaussures sont aussi dans le sac. Etant donnée ma pointure, je ne me fais malgré pas trop d’inquiétudes sur ce point. Mais je déchante vite, en sortant du sac une paire de sandales à talons hauts (à vue d’œil, je dirais au moins 8 cm), et à longues lanières prévues pour remonter le long de la cheville et du mollet. Surpris, je retourne vite les chaussures, et je vérifie malheureusement qu’il s’agit bien d’une pointure 43. Ecœuré mais n’ayant pas trop le choix, je m’assieds sur le lit, et m’affaire à les enfiler quand on sonne à la porte. Mel me dit alors de finir de me préparer pendant qu’elle va ouvrir, ce sont sans doute les autres qui arrivent. J’ai juste le temps de finir de nouer les chaussures et de me relever difficilement avant que la porte de l’appartement s’ouvre, et laisse place aux 4 copains et 3 copines qui doivent nous accompagner. Ils éclatent de rire en me voyant, puis se mettent à me siffler et à me faire la bise. Mel propose alors de partir, maintenant que je suis prêt et que tout le monde est là. Je demande une dernière fois, penaud : « Vous n’êtes pas sérieux, vous n’allez quand même pas me faire sortir comme ça ? » Les regards et rires qui s’ensuivent me confirment malheureusement que si. Quand je m’apprête alors à prendre mon sac à dos avec ma serviette et ma crème solaire, Mel me fait comprendre que ce n’est pas la peine, car tout est disponible dans le sac qu’elle a ramené et qui contenait les vêtements. Je vais donc le chercher. Tout le monde sort, et, n’ayant pas trop le choix, je les suis. Heureusement, les voitures sont garées juste en bas de l’immeuble, et je n’ai croisé aucun voisin dans les couloirs. Après une petite heure de route, la mer est en vue. Malheureusement, il fait très beau, et il y a donc foule en ce week-end. Les places de parking sont rares, et nous sommes obligés de nous garer à l’écart, à au moins 2 kilomètres de la plage. Le stress monte alors d’un coup, car non seulement je vais m’exposer à la vue de tous, mais en plus, il va falloir que je marche pendant plus de 2 kilomètres avec ces chaussures qui me font déjà mal aux pieds rien qu’en étant assis. A peine sortis de la voiture, les premiers regards surpris et hilares se tournent sur moi, et les premiers appareils photos immortalisent ce jour. Nous voilà partis vers la plage, et j’essaye tant bien que mal de tenir debout, tout en évitant de faire de trop grands mouvements pour ne pas trop faire voler la jupe. Au bout de quelques minutes, je me rends compte qu’Aurélie distribue un tract à chaque personne prenant des photos de moi. Je lui demande alors ce que c’est, et elle m’en tend un sur lequel je peux lire : « N’oubliez pas de lui transférer les photos que vous prenez de lui à esclave59000@hotmail.com, et de le mettre en copie quand vous les envoyez par mail à vos contacts, et n’hésitez pas à les afficher sur vos blogs et sites personnels, en lui envoyant les adresses. » Je me sens alors tellement mal que je suis incapable de réagir. Le chemin se continue ainsi jusqu’à notre arrivée sur la plage, où nous nous installons dans un endroit très fréquenté. Tout le monde se met alors en maillot, et on m’incite à faire de même. Tellement soulagé de pouvoir quitté mes chaussures, je m’exécute rapidement. Puis vient l’heure de la baignade, un des moments les moins gênants, car je suis dans l’eau et on ne voit donc pas mon string, et peu mon haut de bikini. Après quelques minutes, nous sommes de retour sur la plage, et chacun se fait tartiner de crème solaire. Je m’allonge sur la serviette rose qui m’a été donnée par les filles, qui se proposent pour m’étaler la crème qu’elles sortent de mon sac. J’accepte volontiers, plutôt excité par cette idée. Le moment est agréable, mais je suis surpris par leur éclat de rire dès qu’elles ont fini. N’arrivant pas à comprendre pourquoi, je laisse tomber et profite du soleil. Mais je ne sais pas trop comment me mettre, à cause de la présence des nombreuses personnes qui sortent encore leur appareil photos et à qui Aurélie distribue encore et toujours ses tracts. En effet, me mettre sur le ventre a le mérite de masquer mon visage, mais tout le monde peut voir mes fesses et le fait que je porte un string, alors que me mettre sur le dos cache le string, mais mon visage peut apparaître sur les photos avec mon bikini. Je change donc régulièrement, en me faisant le plus discret possible. Vient alors l’heure du retour. Je me rhabille donc, et nous repartons pour une demi-heure de torture pour mes pieds. Le retour se passe tranquillement, et je retrouve avec plaisir mon appartement, tandis que les autres repartent chez eux. Je m’empresse alors de me déshabiller, puis je m’apprête à aller sous la douche quand je passe devant le miroir, dans lequel je m’aperçois étonnamment bronzé. Je retourne chercher le flacon de crème, sur lequel je vois : crème autobronzante. Je retourne alors me voir dans la glace, et je suis anéanti et voyant clairement les marques du string et du haut de maillot de bain. Je sais alors que je n’ai pas fini d’être humilié, car, faisant du sport, un certain nombre de personnes vont très certainement voir ces marques de bronzage. Je me résigne car je ne peux de toutes façons rien faire, et je prends ma douche. Après le dîner, je me décide à aller voir mes mails, comme d’habitudes, et je m’aperçois alors très vite que ma messagerie est surchargée. Je passe alors plus de 3 heures à lire les 300 mails reçus, contenant des photos de moi dans la journée, et à visiter les dizaines de blogs et sites personnels sur lesquels ces photos s’affichent. Je décide alors d’aller me coucher et je m’endors difficilement…
  • Commentaires textes : Écrire

 

Du blog à l'humiliation (6/6)

Le 07/07/2025

Arrivés sur le pallier, Stéphanie demande à tout le monde d'enlever ses chaussures pour éviter de salir l'appartement. Ceci fait, tout le monde entre, mais la transpiration due à la marche laisse des traces sur le carrelage, et Stéphanie saute sur l'occasion pour dire que ça ne va pas. C'est alors ma fête puisque c'est à moi ou plus particulièrement à ma langue que va revenir la tâche de laver les pieds de ces demoiselles. L'une après l'autre, elles s'asseyent donc face à moi, et me tendent leurs pieds que je suis dans l'obligation de lécher avec application, en passant partout (y compris entre les orteils), quelle que soit l'odeur dégagée. Si cela est supportable avec les filles qui portaient des sandales, ça l'est beaucoup moins avec celles qui portaient des bottes, et surtout des baskets, ce qui est notamment le cas d'Aurélie et de Mélanie, qui me tendent à leur tour leurs pieds, un grand sourire aux lèvres. Ce travail étant terminé, Marion se plaint d'avoir froid aux pieds. Stéphanie lui répondit alors : - Ok, vous allez pouvoir remettre vos chaussures, mais il faut d'abord les laver. On n'a qu'à demander à notre esclave de le faire. - Ca tombe bien, j'avais justement marché dans une merde de chiens juste avant de rentrer, répond Mélanie. Après avoir lavé les pieds, me voilà donc obligé de laver les chaussures de toutes les demoiselles. Mais Mélanie bluffait, j'en suis sûr… enfin j'espère. Ma langue commence donc son travail, méticuleusement, et s'occupe de nettoyer les chaussures, le dessus mais aussi la semelle. Je prends les chaussures dans l'ordre où elles me sont données, et je dois avouer que terminer par les baskets de Mélanie ne m'enchante guère, car la crainte qu'elle ait dit la vérité va croissant. Quand enfin j'arrive à cette dernière paire, je me rends malheureusement compte qu'elle n'avait pas bluffé, mais les quelques violents coups de pieds que je reçois dans le cul me font vite oublier mes réticences. Et les baskets de Mélanie y passent comme les autres, pendant que j'essaye de retenir les hauts le cœur provoqués par le goût très gênant de cette substance brunâtre présente sur la semelle. La soirée se termine enfin, et j'ose demander à récupérer les photos, ou bien à ce qu'elles soient détruites. - Tu rêves, répondit Mélanie, mais ne t'inquiètes pas tu les auras, j'ai ton adresse mail. Et de toute façon, tu ne seras pas le seul à les avoir. - Comment ça ? - Bon je vous rappelle la consigne les filles. Envoyez-moi toutes les photos que vous avez prises, et je ferai un album de photos numériques complet que je vous renverrai à toutes. Il vous suffira alors de le publier sur tous vos blogs et sites persos, afin d'en faire profiter tout le monde. Vous pourrez aussi l'envoyer à toutes vos correspondantes sur le net, en n'oubliant pas de mettre notre esclave en copie pour qu'il puisse voir le nombre de filles qui auront vu ses photos, avec un message du genre : "Voici des photos d'une soirée géniale. Ce mec s'est trop pris la honte, mais pour que ça continue, transférez ce message à toutes vos correspondantes sur le net, en n'oubliant pas de mettre cet esclave (….@….com) en copie afin qu'il voit le nombre de filles qui auront vu ces photos.". - Vous n'allez quand même pas faire ça ? (D'autant que c'est ma vraie adresse mail qui a été donnée, et non celle avec laquelle j'échange sur mes fantasmes...) - On va se gêner… De toutes façons, tu n'es qu'un esclave et tu n'as donc pas ton mot à dire. De plus, on fera une petite séance vidéo au club la semaine prochaine. Interdite aux moins de 18 ans bien sûr. - Comment ça vidéo ? - Ben oui. Tu n'as pas vu les caméras dans la chambre, le salon et la salle de bains, et celle que tenait Noémie dans ses mains quand on est allés en ville ? Toute la soirée a été filmée, et il ne nous reste plus qu'à faire le montage. N'en croyant pas mes oreilles, je faillis fondre en larmes, quand tout le monde éclata de rire. - C'était une blague pour la vidéo… Mais pour les photos, on ne va pas se gêner. Bon allez il est temps que tu t'en ailles. Stéphanie me reconduit alors à la porte, mais je lui fais remarquer que je suis encore nu avec des chaussures à talons. - Oui, on sait, répond Mélanie. Tu récupèreras tes fringues demain au club, et si tu es sage, c'est-à-dire si tu arrives nu avec juste tes chaussures, on t'enlèvera les cadenas. Stéphanie ouvre alors la porte, me pousse sur le pallier et referme la porte à clefs derrière moi. Ne comptant pas me laisser faire, je sonne alors longuement, mais on ne m'ouvre pas, et au bout de quelques secondes, la sonnerie a dû être coupée, car elle ne retentit plus. Je me rends alors compte que je n'ai pas le choix, à moins de tambouriner à la porte au risque d'ameuter tout l'immeuble. Comme je ne suis pas fier de ma situation, je me résigne donc à rentrer chez moi, nu et en talons. Le trajet est d'autant plus long que j'ai mal aux pieds et que j'essaye de me cacher au maximum des passants. Quand enfin j'arrive chez moi, je suis bien obligé de me coucher avec ces chaussures qui me traumatisent les pieds. Le lendemain, après une nuit passée essentiellement à gamberger sur cette soirée, je me conforme donc aux consignes et arrive nu au club, avec ces chaussures que je ne peux toujours pas enlever. Ma part du marché étant respectée, on me rend alors mes vêtements. Une fois habillé, je suis sommé de pisser dans mon pantalon si je veux qu'on me détache mes chaussures. J'ai beau souligner que c'était pour la soirée uniquement que j'avais promis mes services, je ne peux faire autrement que d'obéir, si je veux enfin être libéré de cet instrument de torture. La fin du week-end et les jours suivants ne sont que doutes et craintes, et heures passées devant mon ordinateur pour voir si elles mettront leurs consignes en pratique ou pas… En effet, si Mélanie envoie les photos à toutes les filles de la soirée, et à ses autres correspondantes, ça fera déjà une vingtaine de filles qui les auront, et si celles-ci respectent la consigne et l'envoient à une dizaine de correspondantes en moyenne, ça fera deux cents, puis deux mille, et ainsi de suite… je sais bien comment fonctionnent les chaînes de messages du type "Tw : …". Pourvu donc qu'elles ne le fassent pas.
  • Commentaires textes : Écrire

 

Du blog à l'humiliation (5/6)

Le 07/07/2025

L'ascenseur n'étant bien entendu pas assez grand, cette ballade commence par l'expérience douloureuse que constitue la descente à pieds de quinze étages en talons hauts. Mais ce n'est rien à côté de ce qui m'attend, puisqu'à peine arrivé dans la rue, j'observe les regards des passants qui me croisent ainsi accoutré, des porte-jarretelles à la robe, dont la longueur est telle qu'on aperçoit presque le bas de mes fesses. Après un bon quart d'heure de marche douloureuse (pour les pieds), à subir les regards moqueurs et les commentaires désobligeants des passants, on arrive enfin au centre ville, qui malheureusement est encore bien vivant (on est samedi soir, c'est normal). On s'arrête alors au milieu de la rue, et Marion me dit : - Pisse dans ta jupe. Je la regarde d'un air interloqué, et elle me répète alors ce qu'elle vient de dire, sur un ton beaucoup plus directif encore. Réalisant alors que j'ai bien compris et que je n'ai pas le choix, je me lance honteusement dans cette tâche, alors que les regards de tous les passants amusés se tournent vers moi, attirés par mon accoutrement et par ce groupe de filles qui m'entourent avec un rire moqueur. Je me retrouve alors avec une énorme tache sur la jupe, et la très désagréable sensation de porter des sous-vêtements mouillés. Heureusement la ballade se termine, et on entre alors dans un bar. L'ambiance y est plutôt sympa, la musique aussi, et visiblement une table avait été réservée pour nous, car à part cette grande table, il n'y a plus une seule place disponible. Bien entendu, mon arrivée est saluée par des rires et des sifflements, mais sinon ça se passe plutôt calmement. Jusqu'au moment où Marion m'ordonne, suffisamment fort pour que tout le monde entende dans le bar : - Debout, sur la table !!! Je m'exécute péniblement alors que tous les regards se tournent vers moi. - Regarde, ils ont tous envie de te voir à poil. N'est-ce pas ? Un oui massif se lève dans le bar, et immédiatement Marion déchire ma robe, et je me retrouve en sous-vêtements sexy. - Elle n'est pas belle comme ça ? Vous en voulez plus ? Au oui général qui monte de la salle, Marion s'empresse de détacher violemment mon bustier, pendant qu'Aurélie déchire mes bas et que Mélanie s'occupe de mon string. Me voilà donc nu (ou presque puisque j'ai encore les sandales), dans un bar, debout sur la table, au milieu d'une bonne centaine de personnes (à vue d'œil), dont la plupart utilisent un appareil photos ou un téléphone portable pour immortaliser le moment. On me fait alors mettre à quatre pattes sur la table, avant de me remettre le collier que j'avais auparavant. Stéphanie sort alors la laisse de son sac, la fixe à l'anneau du collier, me fait descendre de la table sous les rires des clients, et attache l'autre bout de la laisse au pied de sa chaise. La soirée continue donc ainsi, moi, nu à quatre pattes aux pieds de la table, certains clients me caressant le dos ou la tête en passant. Tellement pris par la honte de la situation, je ne réfléchis pas trop à ce qui va se passer après. C'est au moment où les filles payent leurs consommations et se préparent que je commence à me demander comment on va rentrer. Visiblement, les filles ne se posent pas la question puisque Mélanie attrape l'extrémité de la laisse et me traîne vers la porte d'entrée. Pris de panique, j'ose signaler que je suis nu. Mal m'en a pris puisque tout ce que cela m'a apporté, c'est un coup de pied, provenant d'une chaussure très pointue, dans le derrière. Je suis donc malgré moi le groupe de filles qui s'engagent à l'extérieur, et je me retrouve alors nu, à quatre pattes, tenu en laisse, avec des chaussures à talons aux pieds, au beau milieu de la rue où les passants se retournent en rigolant. Je suis alors poussé par mes maîtresses à avoir un comportement semblable à un vrai chien, et donc en particulier à faire mes besoins dans la rue. D'un côté, ça tombe bien puisque la pâtée pour chiens a du mal à passer, mais en même temps, faire mes besoins devant tout le monde en levant la patte me gêne terriblement. Je m'exécute toutefois, n'ayant de toutes façons pas d'autre choix. Après une vingtaine de minutes de marche, on arrive enfin de nouveau à l'appartement. Je ne sens plus ni mes genoux, ni mes pieds. Arrivés sur le pallier... A bientôt pour la fin de l'histoire...
  • Commentaires textes : Écrire

 

Du blog à l'humiliation (4/6)

Le 04/07/2025

Je suis alors libéré, et on me fait bien comprendre que, pendant toute la soirée, si une fille a besoin d'aller aux toilettes, on recommencera. On me rattache alors mains et pieds entre eux, et on me laisse le bandeau sur les yeux. Au bout de quelques instants, je sens quelque chose me chatouiller les lèvres. Deux doigts me serrent alors les narines, et j'ai à peine ouvert la bouche que cet objet s'y insère. La forme, la taille et la matière ne me laissent guère de doute sur la nature de l'objet : ce doit être un gode ceinture. On m'enlève alors mon bandeau, et ma vue confirme cette impression. Juste à cet instant je sens une vive douleur au niveau de l'anus, et je me rends compte que le même objet se trouve alors enfoncé entre mes fesses. - Suce, m'ordonne alors Marine, à qui est harnaché le gode qui est dans ma bouche. Je m'exécute alors, pendant que je sens derrière moi des mouvements de va et vient, dont la douleur initiale laisse progressivement place au plaisir. La sonnerie retentit alors, et je me demande qui vient, sachant que je suis nu et dans une position très humiliante au milieu du salon, dans lequel se trouve la porte d'entrée. Sans s'en inquiéter, Stéphanie va ouvrir. Je peux alors apercevoir un jeune homme d'une vingtaine d'années, qui ne semble pas surpris en me voyant ainsi. Surpris au début, je comprends vite qu'il a été appelé par les filles. Très vite, il baisse son pantalon, et présente son sexe à la place du gode que manipulait Marine. Refusant d'ouvrir la bouche, je subis alors le même traitement que précédemment, accompagné d'une fessée magistrale, et je finis par laisser ce sexe pénétrer dans ma bouche. On m'ordonne à nouveau de sucer, et de bien tout avaler et nettoyer à la fin. Me voilà donc en train de lécher, sucer et astiquer ce sexe inconnu, m'appliquant en espérant que ça permette de terminer plus vite. Pendant ce temps, le plaisir apporté par les va et vient entre mes fesses me fait presque oublier ce que je suis en train de faire. Jusqu'à ce que j'aperçoive à nouveau le flash d'un appareil photos. Quand enfin je sens que le jeune homme va jouir, la crainte de ce qui va arriver me fait me contracter fortement, et le resserrement de mon anus autour du gode augmente le plaisir, et je finis par jouir en même temps que lui, sans même avoir été touché, ce qui provoque à nouveau une hilarité générale et une déferlante de flashes. - Il doit bien aimer ça en fait… Je me force alors à avaler tout ce qui arrive dans ma bouche, et à méticuleusement nettoyer le sexe de ce jeune homme, même si la baisse d'excitation due à mon éjaculation a nettement augmenté l'écœurement provoqué. Pensant enfin en avoir terminé, et plus honteux que jamais, je baisse la tête dès que le sexe a quitté ma bouche. Je sens le gode quitter mon anus, mais alors que je baisse tout juste ma garde, le sexe du jeune homme me pénètre violemment. Visiblement, son sexe doit être bien plus gros que les jouets utilisés auparavant, car je ressens d'abord une douleur, qui se transforme au gré des va et vient en un plaisir intense. Je bande à nouveau très fort, ce qui a le don de faire rire les demoiselles : - Eh, mais on dirait vraiment qu'il aime ça… Cela dure encore bien 5 minutes, jusqu'à ce que le jeune homme se vide en moi pour la deuxième fois, avant de se retirer et de s'en aller. - Bon, c'est pas tout ça, mais il faudrait peut-être songer à y aller… Où ça y aller ? C'est quoi ces histoires ? On ne va quand même pas continuer la soirée à l'extérieur ? Malgré tout, je n'ose rien dire, et j'attends craintivement les ordres qui vont m'être donnés. - Rhabille-toi ma belle, me lance alors Mélanie d'un ton moqueur, tout en m'envoyant ma robe et les autres vêtements que je portais en début de soirée. Et après assieds-toi ici. Je m'exécute, et je me retrouve assis sur une chaise devant une glace, entouré de plusieurs filles qui en profitent pour me maquiller. Rouge à lèvres, far à paupières, fond de teint, vernis à ongles pour les mains et les pieds,… j'ai droit à la totale. On me mettra même deux bagues, un pendentif, et une paire de boucle d'oreilles à clipper. Pour terminer les préparatifs, on ferme mes sandales à l'aide de petits cadenas, de telle sorte que je n'ai absolument aucun moyen de m'en séparer. - C'est bon, elle est prête, on peut y aller. L'ascenseur... A bientôt pour la suite...
  • Commentaires textes : Écrire

 

[Blogs.fr / Blogit.fr] Sites édités par Dataxy 2004-2025
Blogs.fr blog multimédia 100% facile et gratuit: publication d'articles, commentaires de l'actualité, politique...
Blogit.fr blog multimédia 100% facile et gratuit: Photos, son, coups de gueule...